1 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
1 mystiques, fussent-ils de religions différentes — hindous , musulmans ou chrétiens — ont de tout temps réinventé les mêmes figur
2 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
2 nt, d’industrie et de médecine, et nos armes. Les Hindous , les Chinois, les Noirs copient l’Europe pour toutes ces choses, mais
3 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
3 j’en pense, qui se résume à ceci : si les anciens Hindous , les Égyptiens, les Sumériens et les Romains, si les Occidentaux eux-
4 t des chevilles, m’a fait comprendre la statuaire hindoue  : les attitudes des dieux : qui semblent monotones, ou parfois curieu
5 n s’engage entre Stephen Spender et ses vis-à-vis Hindous et Parsis. Stephen déplore la condition présente de l’homme occidenta
6 té, seule responsable et progressiste, et qui est hindoue . N’oubliez pas que le Pandit est du Kashmir. Prenez enfin l’affaire d
7 e et son maintien expriment une harmonie de l’âme hindoue que la plupart des corps, dans ce pays, cachent et même contredisent
8 la double tentation ? L’Inde antique, religieuse, hindoue , subsiste encore dans toutes les castes, chez les brahmines, chez les
9 très anciennement chrétiennes du Malabar. Mais un Hindou ne peut devenir « collectiviste » s’il n’a passé d’abord par l’indivi
4 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
10 x livres apocryphes, non moins qu’à la « shakti » hindoue ou à l’Éternel féminin des mystiques hérétiques. Pour Barth, Dieu est