1 s accrochés à cette terre pauvre, qu’ils grattent lentement pour en tirer tout juste de quoi vivre, j’hésite à reconnaître dans l

2 s jaunes et noires, entre lesquelles se déplacent lentement , de droite à gauche, de gauche à droite, entre cent et cent-trente à

3 ma fenêtre, une ombre nette de vautour traversant lentement la chaussée, des crachats rouges de bétel sur le trottoir, et ces moi

4 l’entrée d’une ruelle étroite que nous descendons lentement jusqu’à des escaliers très raides et compliqués, entre de hautes faça

5 mment peut-on savoir. Il y en a tant. Il marchait lentement , à grands pas importants, précédé d’un énorme ventre bien bronzé, vêt

6 e l’autre leurs bâtons croisés ; puis se tournent lentement sur le côté et frappent un peu plus fort ; s’assoient et frappent ; t

7 ée. Mieux vaut aller à pied le long des étalages, lentement à travers les odeurs d’huile brûlée, d’encens ou de pétales de fleurs

8 s de pierre, l’urine des vaches sacrées se répand lentement en larges nappes. À droite, sous un auvent, des zébus attachés au bor