1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 ce de l’« esprit », bêtise de l’action : ces deux misères n’auraient-elles pas une origine commune ? Il m’a semblé que j’entrev
2 u niveau le plus bas où l’homme puisse vivre sans misère , sans ambitions, sans rêves, sans tristesse. Chacun pour soi sur sa p
3 hienne de vie et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse qui se puisse imaginer, dans les antres rédactionnel
4 es hommes vivent sans calcul ni prudence, dans la misère et dans la communion, superstitieux, poètes, bons et fous. Je décrivi
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
5 Allemands par Versailles, par la défaite, par la misère publique. Voilà bien la blessure la déception non plus ressentie par
6 les fêtes du rêve, l’Allemand moyen oubliera ses misères et les humiliations de sa patrie en se perdant dans l’âme collective,
3 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
7 ttural, pareil à celui des corbeaux, le cri de la misère sauvage qui seule, dans cette fournaise humide, fouette encore l’éner
8 emps : point de culture tant qu’il subsiste de la misère et de la famine, il n’y aurait point de civilisation ; s’il n’y avait
9 il s’agit d’équiper l’Inde, pour la sauver de la misère . » Beaucoup enfin de ceux qui l’aiment et qui l’admirent : « Ah ! s’i