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ient chrétiens, il n’y aurait plus d’exploitation
ni
de guerre !… La péroraison a été éloquente, un peu trop à mon goût. O
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resse de gauche ne reflète nullement la mentalité
ni
les conversations populaires. C’est que les journaux socialistes et c
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eures d’un pays d’énormes plaines, sans barrières
ni
haies, sans chemins creux et sans secrets, où les hommes vivent sans
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et sans secrets, où les hommes vivent sans calcul
ni
prudence, dans la misère et dans la communion, superstitieux, poètes,
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l coin de terre à nu, et plus une ligne indécise,
ni
d’eau qui court, ni de feuillages. Tout est pans de brique peinte et
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, et plus une ligne indécise, ni d’eau qui court,
ni
de feuillages. Tout est pans de brique peinte et de ciment armé diver
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as « les péchés » de ces hommes et de ces femmes,
ni
les miens, dont nul ne peut juger et qui peut-être n’en sont point. C
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e la cuisine, deux petites chambres sans fenêtres
ni
portes. Au fond, une autre pièce plus claire, sur la cour. Ce logis,
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es américaines ne sont pas une réclame politique,
ni
même un expédient pour lutter contre le chômage. Elles sont le produi
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es ? L’Europe unie, bien sûr. Mais pas trop vite,
ni
trop précisément… Ils parlent de prudence, d’étapes préparatoires. St
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ublié quelques éléments décisifs, qui ne sont nés
ni
d’Athènes, ni de Rome, ni de Jérusalem, ni de leurs combinaisons ? Il
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éléments décisifs, qui ne sont nés ni d’Athènes,
ni
de Rome, ni de Jérusalem, ni de leurs combinaisons ? Il y a d’abord l
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cisifs, qui ne sont nés ni d’Athènes, ni de Rome,
ni
de Jérusalem, ni de leurs combinaisons ? Il y a d’abord le temps. Un
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nt nés ni d’Athènes, ni de Rome, ni de Jérusalem,
ni
de leurs combinaisons ? Il y a d’abord le temps. Un dialogue prend du
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tériques qui ne concernent pas l’homme de la rue,
ni
l’industriel ou le banquier. Jadis centrale, la situation de la cultu
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à notre fonds, mais développés là-bas sans mesure
ni
critique, méthodiquement, parfois jusqu’à la monstruosité12. Mais s’i
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les. Je ne sais si j’ai rien vu de plus touchant,
ni
jamais un groupe d’hommes plus dignes et candides dans l’acte d’enten
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ur folle, sans la moindre trace de passion. Non,
ni
« beau » ni « grotesque » n’ont rien à voir ici. La danse des deux he
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ns la moindre trace de passion. Non, ni « beau »
ni
« grotesque » n’ont rien à voir ici. La danse des deux hercules moust
20
s manifestation. ⁂ Hindouisme. — Point d’Église,
ni
de hiérarchie, ni de paroisses, ni d’organisation ; point de croyance
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Hindouisme. — Point d’Église, ni de hiérarchie,
ni
de paroisses, ni d’organisation ; point de croyance en Dieu, ni de th
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oint d’Église, ni de hiérarchie, ni de paroisses,
ni
d’organisation ; point de croyance en Dieu, ni de théologie, de credo
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s, ni d’organisation ; point de croyance en Dieu,
ni
de théologie, de credo ni de catéchisme ; point de liturgie non plus
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nt de croyance en Dieu, ni de théologie, de credo
ni
de catéchisme ; point de liturgie non plus puisqu’il n’existe pas de
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non plus puisqu’il n’existe pas de culte public,
ni
même de rites communautaires ; à part les processions et fêtes périod
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te, qu’il n’a pas non plus le sens de la révolte,
ni
celui de l’humour, ni même celui de l’originalité, étant l’homme du K
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plus le sens de la révolte, ni celui de l’humour,
ni
même celui de l’originalité, étant l’homme du Karma, et d’une caste.
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Âge, on la réveille au siècle américain et russe.
Ni
d’un côté ni de l’autre, elle ne peut se reconnaître. Elle se dit neu
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veille au siècle américain et russe. Ni d’un côté
ni
de l’autre, elle ne peut se reconnaître. Elle se dit neutre, comme qu
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se voit sommée de jouer. Elle n’est pas équipée,
ni
entraînée. Elle ne sait pas quel camp choisir. Comme on comprend que
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qui n’a jamais connu le phénomène des « masses »,
ni
l’individualisme dont il est la rançon. Cependant l’Inde, en tant qu’
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estante, qui ne sépare point la vertu de l’effort
ni
la valeur d’une action du mérite moral de son auteur. D’où il résulte
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ale), ces mesures restrictives ne provoquent plus
ni
sursauts de révolte ni farouches approbations ; on les considère pour
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ictives ne provoquent plus ni sursauts de révolte
ni
farouches approbations ; on les considère pour ce qu’elles sont : rés
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oisins. C’est un portrait, ce n’est pas un éloge,
ni
une critique. Dire que le Suisse moyen est sérieux mais heureux (j’aj
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réformiste, et qu’il n’aime pas les jeux d’idées
ni
la spéculation dans aucun ordre, enfin que le travail est sa vie, est
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meur malicieuse, et pas du tout « intellectuels »
ni
par l’allure ni dans l’abord humain : à cela peut-être se résument le
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et pas du tout « intellectuels » ni par l’allure
ni
dans l’abord humain : à cela peut-être se résument leurs traits commu
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.) Nous n’avons pas en Suisse de poètes de génie,
ni
de peintres qui aient fait époque, ni de compositeurs du plus haut ra
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s de génie, ni de peintres qui aient fait époque,
ni
de compositeurs du plus haut rang. Hölderlin ou Racine, Mozart ou Rub
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onc l’État-nation qui perd. Il ne correspond plus
ni
aux conditions de liberté et de participation civique, apanage des co
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cités libres, comme Rousseau l’avait si bien vu ;
ni
aux conditions de développement, de rentabilité et de sécurité, auxqu
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es, que sera-ce ailleurs ? Le fédéralisme n’étant
ni
ceci, ni cela, mais la coexistence en tension de ceci et de cela, il
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era-ce ailleurs ? Le fédéralisme n’étant ni ceci,
ni
cela, mais la coexistence en tension de ceci et de cela, il semble qu
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le sorte que la solution ne puisse être cherchée,
ni
dans la réduction de l’un des termes, ni dans la subordination de l’u
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herchée, ni dans la réduction de l’un des termes,
ni
dans la subordination de l’un à l’autre, mais seulement dans une créa
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mme… fils unique en deux natures, sans confusion (
ni
) séparation. L’union n’a pas supprimé la différence des natures, mais
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e la co-existence des deux natures sans confusion
ni
séparation et de l’union qui loin de supprimer la différence des natu
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la fédération. Il est une symbiose sans confusion
ni
disparition des spécificités. » 27. H. Brugmans et P. Duclos, Le Féd