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ure où toutes choses deviennent translucides, une
nostalgie
longtemps déçue et qui s’empare avec avidité des plus furtives promes
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ls et de s’être dévoué, corps et âme, à la grande
nostalgie
de l’être en exil. » II. L’Être en exil Ce sentiment d’exil que
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i sensible à ses limitations, et lui inspirent la
nostalgie
de les dépasser. Mais seule une vocation lui en donnera la force. Qu’