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je revoyais cette centaine d’hommes dans la salle
nue
. Leur méfiance ou leur timidité, ou aussi leur fatigue après une long
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imitive ne subsiste, plus un seul coin de terre à
nu
, et plus une ligne indécise, ni d’eau qui court, ni de feuillages. To
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Le sol des plaines environnantes paraît encore à
nu
dans les cours des hôtels, entre les pavés provinciaux, aux esplanade
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çales. La brique est chaude encore sous mes pieds
nus
. À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas, dans le
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re de microscopique — permettant l’examen à l’œil
nu
. Décrivons sa partie, inférieure. La rue huileuse, parsemée de vieill
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’arrête ici et s’ouvrent les espaces de pâturages
nus
, en pente douce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline,
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et belle, qui mord une pomme, et son torse paraît
nu
dans un fin sweater jaune. Elle rit, jette la pomme et nous salue de
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i marquée, nous nous trouvons devant une question
nue
et simple, sur laquelle notre génération doit concentrer sa réflexion
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vautrés dans les boutiques, des passants à pieds
nus
qui circulent sans nous voir de leurs yeux fixes et ardents. Nous cro
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, sans musique. On entend le frottement des pieds
nus
, des saris roses, violets, vert assourdi. Des yeux brillent dans les
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le holy man : plus ils sont saints, plus ils sont
nus
, et non pas chamarrés de robes et surplis à l’instar des princes ou d
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lé, sur le ventre ou sur le côté, recroquevillés,
nus
ou couverts d’un drap. Certains se font un lit d’une table à fruits,
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lons blancs étroits, souliers de soie noire, tête
nue
. Un prince d’Orient, aussi beau qu’on le dit. Légèrement boudeur, m’a