1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 r que le régime qui convient le mieux à cette vie obscure — j’entends celui qui la contente le mieux à défaut de la développer
2 x, poètes, bons et fous. Je décrivis les révoltes obscures de ces masses opprimées et naïves, conduites par des équipes d’hommes
3 rité de la fable qui donne une forme grande à nos obscurs et grands désirs informulés. En finissant, je craignis un moment de l
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
4 comparable au vertige, vers ces régions de l’être obscur que le bon sens et la philosophie prétendaient mettre au ban de l’hum
5 « Ils admettent tous, écrit M. Béguin, que la vie obscure est en incessante communication avec une autre réalité, plus vaste, a
6 promesses de bonheur, surtout si elles sont assez obscures et ambiguës pour échapper au froid contrôle de la raison. Toute la po
7 su dépeindre l’état de conscience qui naît de cet obscur déchirement : « C’était comme si le poids de son existence l’eût acca
8 ntre les mains du parti, d’un démiurge anonyme et obscur dont il n’a plus qu’à recevoir les ordres, sans trop chercher à les c
3 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
9 ait trop chaud. Des rires viennent d’une terrasse obscure , un cliquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre et j’al
4 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
10 ux-mille ans qu’on la connaît : la mort d’un Juif obscur , près de Jérusalem, a fait moins de bruit, en son temps, que la visit