1 non pas bipolaire, de même que la théologie de l’ Occident n’est pas dualiste, mais trinitaire. Et de fait, l’Europe n’a pas pri

2 préter les principales structures dynamiques de l’ Occident , les conflits fondamentaux qui les sous-tendent et les grandes doctri

3 ons. Dans ce complexe de drames, constitutif de l’ Occident , nous trouvons le grand secret de l’homme européen : c’est un homme d

4 l suggère que si la culture reste encore libre en Occident , c’est peut-être dans la mesure où les pouvoirs ne la prennent pas au

5 e profonde. Tel est le mal profond dont souffre l’ Occident . À l’inverse, les régimes totalitaires de l’Est ont si bien vu l’impo

6 ture et le puissant trafic d’une grande cité de l’ Occident comme on en voit en Amérique du Sud : plus uniformément modernes que

7 ble qu’au regard de la « hideuse vulgarité » de l’ Occident , dont parlait récemment André Gide, toute la noblesse des gestes, des

8 collective, bref, à toute l’aventure courue par l’ Occident . Dans l’état présent des choses, on comprend fort bien que notre idée

9 lais, et d’autre part, elle est tentée de juger l’ Occident tout entier à travers l’Amérique ; or l’Europe est plus près de l’Ind

10 s, pense en anglais. ⁂ Délivrée des Moghols par l’ Occident , puis de l’Occident par l’action combinée de Gandhi, de nos faiblesse

11 ⁂ Délivrée des Moghols par l’Occident, puis de l’ Occident par l’action combinée de Gandhi, de nos faiblesses et de nos idéaux,

12 s jugent inhérent à la nouvelle civilisation de l’ Occident , — celle que le monde entier lui attribue désormais, lui reproche ver

13 utres domaines critiques de l’existence morale en Occident  : la sexualité, le mariage ? Les anciens Suisses, au temps des Ligues

14 de tout fondre dans l’Un sans distinction. Mais l’ Occident , dès l’aube grecque, cherche à maintenir les deux termes non pas en é