1 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
1 ois rocheuses, alors que la vallée s’emplit d’une ombre froide. Et j’étais bien au fond d’une gorge, dans cette rue de brique
2 ntain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ ombre de brique au puits des rues luisantes, dos longs d’autos jaunes ou no
2 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
3 du thé. Les trois formes blanches naissent dans l’ ombre . Je me rendors. Le thé est là, et de nouveau trois hommes en blanc pr
4 omme rageur d’un corbeau maigre à ma fenêtre, une ombre nette de vautour traversant lentement la chaussée, des crachats rouge
5 ges portes à barreaux : les temples. Au fond de l’ ombre , un autel s’illumine. Étoffes rouge et or derrière la statuette, bijo
6 mes serviteurs se lèvent à demi.) Dehors, dans l’ ombre des arcades, des milliers de dormeurs sans mouvement. Sur le dos, bou
7 passe le porche. Saisissement dès l’entrée dans l’ ombre et le silence. Essayer de se rappeler le plus grand nombre possible d
8 » en plein cœur du désordre éperdu de la ville. L’ ombre , l’absence de paroles, de mouvements. Et la composition compliquée de
9 re primitif qui lie l’homme à ses dieux comme une ombre à la nuit ? Ne trouverait-il pas au contraire ce signe d’inquiétude e
3 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
10 sept-mille pages de Journal furent écrites dans l’ ombre d’une carrière assez terne pour être acceptée sans histoires. « En ép