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ois rocheuses, alors que la vallée s’emplit d’une
ombre
froide. Et j’étais bien au fond d’une gorge, dans cette rue de brique
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ntain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’
ombre
de brique au puits des rues luisantes, dos longs d’autos jaunes ou no
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du thé. Les trois formes blanches naissent dans l’
ombre
. Je me rendors. Le thé est là, et de nouveau trois hommes en blanc pr
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omme rageur d’un corbeau maigre à ma fenêtre, une
ombre
nette de vautour traversant lentement la chaussée, des crachats rouge
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ges portes à barreaux : les temples. Au fond de l’
ombre
, un autel s’illumine. Étoffes rouge et or derrière la statuette, bijo
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mes serviteurs se lèvent à demi.) Dehors, dans l’
ombre
des arcades, des milliers de dormeurs sans mouvement. Sur le dos, bou
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passe le porche. Saisissement dès l’entrée dans l’
ombre
et le silence. Essayer de se rappeler le plus grand nombre possible d
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» en plein cœur du désordre éperdu de la ville. L’
ombre
, l’absence de paroles, de mouvements. Et la composition compliquée de
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re primitif qui lie l’homme à ses dieux comme une
ombre
à la nuit ? Ne trouverait-il pas au contraire ce signe d’inquiétude e
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sept-mille pages de Journal furent écrites dans l’
ombre
d’une carrière assez terne pour être acceptée sans histoires. « En ép