1 dissements éclatent au fond de la salle. Le jeune orateur électrisé se lance dans une définition vibrante de la laïcité. « Être

2 oreille de ma femme : « C’est un sermon ! » que l’ orateur , au comble de son éloquence, s’écrie : « Et, mes frères ! si l’on vie

3 éponse. La mère Renaud vient de m’apprendre que l’ orateur est le pasteur du chef-lieu. Il paraît qu’il cause très bien — lui au

4 . Ce sont les seules femmes. Mauvais éclairage. L’ orateur se hisse sur la scène : un homme jeune encore, un peu gros et lent d’

5 ames, vous m’excuserez de ne pas vous présenter l’ orateur qui va vous faire un intéressant discours sur le sujet… Je ne connais

6 Le président fait alors un bref remerciement à l’ orateur . Il s’excuse encore de ne pas s’y connaître assez en religion, mais a

7 Benda. Il est généralement admis en France qu’un orateur dit un tas de choses qu’on ne comprend pas, et cite des noms qu’on ne

8 y avait rien à « discuter » dans les paroles de l’ orateur , parce que c’était « la vérité ». Autrement dit, parce que c’était co

9 ier au cours de l’hiver, avec l’aide de plusieurs orateurs bénévoles, pasteurs, instituteurs ou autres « personnes instruites »

10 ruraux peut contenir une centaine d’auditeurs. L’ orateur doit se tenir debout au milieu d’eux, de manière à pouvoir, tout en p