1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 personne, moi ! — il y a, dis-je, quelqu’un qui a osé prétendre que je suis un empoisonneur des consciences ! » Récit détai
2 qui vaille mieux que la paix et le bonheur, pour oser bouleverser la petite vie de notre île. À noter et à souligner : seul
3 e retiens de cette journée deux impressions (je n’ ose pas en dire davantage : tout cela est encore moins clair dans la réal
4 communisme : il leur fallait cela sans doute pour oser parler de nouveau une langue large, utile et humaine… Auparavant, ils
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
5 chappatoire dans l’indicible et l’inconscient. Il ose enfin parler et témoigner au nom d’une Vérité qui le dépasse. Et l’on
3 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
6 du monde. Sur quoi j’imagine bien que personne n’ osera dire (même pas les staliniens, ou pas comme cela) : « Je veux une Eur
7 es séances nous parler comme un militant : « On n’ ose plus nous appeler des utopistes et des rêveurs ! s’écria-t-il. En réa
8 nous sommes parvenus, plus rapidement que nous n’ osions l’imaginer, à engrener sur les rouages les principaux gouvernements e
9 Et quel bonheur, auquel il suffirait peut-être d’ oser croire ? Se peut-il que ce soit tout simplement l’Europe, redécouvert
4 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
10 marchent, ceux qui ont su voir le but et qui ont osé lui donner son vrai nom : fédération. Les progrès surprenants de l’id
11 ion. Les dirigeants de notre Mouvement européen n’ osaient pas espérer que la question capitale s’imposerait tout naturellement,
5 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
12 les socialistes d’antan revendiquaient sans trop oser y croire, et que les patrons modernes négocient posément avec des che
13 l est sauté. Cas unique, dans l’Europe moderne. J’ ose y voir le plus grand privilège des Suisses : quelle que soit leur pet