1 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
1 jusqu’à y englober tout l’univers, atteint par le péché originel : « Sous quelque angle qu’on veuille l’examiner, l’homme tro
2 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
2 se demande parfois : qu’est-ce, en somme, que le péché  ? C’est cela, c’était ce que j’éprouvais à Times Square avec une acui
3 ’où l’Esprit s’est retiré. Ce n’étaient pas « les péchés  » de ces hommes et de ces femmes, ni les miens, dont nul ne peut juge
3 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
4 nterroge anxieusement, se plaint de notre sens du péché . Les Indiens continuent de sourire : non vraiment, ils n’ont pas ce s
5 autre manière d’exprimer qu’il n’a pas le sens du péché  ; et par suite, qu’il n’a pas non plus le sens de la révolte, ni celu
6 heur, d’incomplétude inéluctable. D’où le sens du péché , d’où la révolte, d’où l’idée d’un progrès nécessaire, absolument lié
4 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
7 en Europe, pendant le xixe siècle, la notion de péché s’est vue assimilée avant tout à celle de luxure, ou, pour rester con
8 issent tranquillement libérées de la hantise du «  péché  », et les pasteurs actuels aussi. D’où l’on pourrait déduire d’une p
9 rès la guerre, ce contempteur de la neutralité, «  péché des Suisses », s’élève sans relâche contre la guerre froide, et se vo
10 thérien par sa doctrine de la grâce mais aussi du péché radical détruisant toute « analogie de Dieu » en l’homme, calviniste