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e province à une autre, ce n’est pas seulement le
paysage
qui change. N’était-ce pas là l’une des raisons qui faisait si facile
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et des hangars d’avions aux coupoles surbaissées.
Paysage
de déluge où s’enlisent, fumants, des monstres antédiluviens. Une fal
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’immenses parcs semés de monuments. Le site et le
paysage
y sont partout sensibles. Les rues montent et tournent, épousant les
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perspective de l’East River jusqu’à Brooklyn. Un
paysage
immense de minéral et d’eau. La rivière, sillonnée de remorqueurs tou
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nous changions un jour de goûts et d’ambition, ce
paysage
se transformerait. Si je me tourne vers le nord, je vois un monde de
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sont interchangeables à tant d’autres égards.) Le
paysage
pourrait bien être européen : collines douces, bois et prairies, une
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nes blanches et ces ifs dramatiques, on domine un
paysage
de pluies lointaines et de prairies dorées. Soudain, un coup de vent
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attirant les villes à soi et déplaçant de vastes
paysages
au gré d’une curiosité rêveuse. Mais, soudain, le regard est pris par