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s, il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la
phrase
étant particulièrement sonore, des applaudissements éclatent au fond
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gent… comme les puces d’un hérisson mort. » Cette
phrase
a fait dans mon esprit ce qu’on appelle un trait de lumière. Lundi de
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tout s’explique sans peine désormais, grâce à la
phrase
de Colette. Je rapporte cette anecdote parce qu’elle comporte une con
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onnant, si l’on ne nous rebattait les oreilles de
phrases
sur la volonté et la mission du peuple. On a beau se méfier des phras
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et la mission du peuple. On a beau se méfier des
phrases
, il faut se trouver placé soudain devant les êtres en chair et en os
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ut à fait autre chose. C’est un certain nombre de
phrases
qu’on lit dans les journaux et qu’on entend dans les assemblées, et g
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t agréablement, ils la réduisent à un ensemble de
phrases
correctes, quelquefois ingénieuses, et par définition inefficaces. L’