1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 s, il a été stipulé qu’à l’avenir… » La fin de la phrase étant particulièrement sonore, des applaudissements éclatent au fond
2 gent… comme les puces d’un hérisson mort. » Cette phrase a fait dans mon esprit ce qu’on appelle un trait de lumière. Lundi de
3 tout s’explique sans peine désormais, grâce à la phrase de Colette. Je rapporte cette anecdote parce qu’elle comporte une con
4 onnant, si l’on ne nous rebattait les oreilles de phrases sur la volonté et la mission du peuple. On a beau se méfier des phras
5 et la mission du peuple. On a beau se méfier des phrases , il faut se trouver placé soudain devant les êtres en chair et en os
6 ut à fait autre chose. C’est un certain nombre de phrases qu’on lit dans les journaux et qu’on entend dans les assemblées, et g
7 t agréablement, ils la réduisent à un ensemble de phrases correctes, quelquefois ingénieuses, et par définition inefficaces. L’
2 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
8 émentaire (avec publicité dans le texte) dont les phrases fragmentées s’échelonnent tout au long des superhighways. « Perdez un
3 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
9 libre exercice des vocations ; là enfin où cette phrase de l’Évangile rendait le son le plus authentique : « Que servirait à
4 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
10 Du Principe fédératif, où l’on pouvait lire cette phrase devenue célèbre : « Le xixe siècle ouvrira l’ère des fédérations, ou
11 tratifs, Mirabeau répondait déjà par cette grande phrase  : Le but de la société n’est pas que l’administration soit facile, ma