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re la table, embarrassés de leurs mains, de leurs
pieds
, de leur casquette. Coups d’œil malicieux aux copains de la salle. Le
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monie fauve des façades, circulation vibrante aux
pieds
, fumerolles au ras de l’asphalte et le vent fou ! Si le détail est la
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Ce n’était pas le froid, la pluie, la poisse aux
pieds
mêlée d’essence sur l’asphalte des avenues, c’était ce vide. C’était
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provençales. La brique est chaude encore sous mes
pieds
nus. À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas, dan
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ire couverte et fort étroite se dresse sur quatre
pieds
de fonte : il faudrait monter sur une chaise pour y entrer. De la cui
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sortent, le museau bas, et l’un vient vomir à nos
pieds
des morceaux de cire mal mâchés. Une servante les poursuit armée d’un
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s prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais les
pieds
dans ce dégoûtant salon ! » Des éclairs illuminent longuement les meu
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, de fédérer l’Europe, c’est-à-dire de mettre sur
pied
, contre vents et marées, des institutions continentales et de les fai
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hances de se réaliser. Nous sommes donc arrivés à
pied
d’œuvre. Ici commence la bataille décisive. Objectifs immédiats
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de la puissance politique. Elle se sent « mise à
pied
» par l’Histoire, au profit de deux empires neufs qui menacent d’enga
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hommes vautrés dans les boutiques, des passants à
pieds
nus qui circulent sans nous voir de leurs yeux fixes et ardents. Nous
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tinte, sans musique. On entend le frottement des
pieds
nus, des saris roses, violets, vert assourdi. Des yeux brillent dans
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n plein milieu de la chaussée. Mieux vaut aller à
pied
le long des étalages, lentement à travers les odeurs d’huile brûlée,
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sur le rebord, jambes pendantes, me regardent. Au
pied
de l’arbre, une petite fontaine et un autel, chargé de fleurs et d’of