1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 ur parlai pendant deux heures d’un pays d’énormes plaines , sans barrières ni haies, sans chemins creux et sans secrets, où les
2 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
2 tendent sur des espaces bien plus vastes, îles et plaines reliées par un immense réseau de ponts, de tunnels et d’autostrades s
3 À Chicago et Saint-Louis, au contraire, sur les plaines d’alluvions ou dans les marécages, les gratte-ciel déjà, me dit-on, m
4 e irrémédiablement désertique. Les Américains des plaines de l’Ouest, venant à New York, ont coutume de se plaindre de l’inhuma
5 les gens. Le train surgissait du tunnel dans une plaine de marécages et de roseaux géants, coupée de canaux et de digues, enj
6 nt et tournent, épousant les collines. Le sol des plaines environnantes paraît encore à nu dans les cours des hôtels, entre les
3 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
7 vers le nord, l’Europe s’ouvre vers l’est par des plaines indéfinies. Ce n’est pas un fait géographique qui marque ses limites