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ur parlai pendant deux heures d’un pays d’énormes
plaines
, sans barrières ni haies, sans chemins creux et sans secrets, où les
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tendent sur des espaces bien plus vastes, îles et
plaines
reliées par un immense réseau de ponts, de tunnels et d’autostrades s
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À Chicago et Saint-Louis, au contraire, sur les
plaines
d’alluvions ou dans les marécages, les gratte-ciel déjà, me dit-on, m
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e irrémédiablement désertique. Les Américains des
plaines
de l’Ouest, venant à New York, ont coutume de se plaindre de l’inhuma
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les gens. Le train surgissait du tunnel dans une
plaine
de marécages et de roseaux géants, coupée de canaux et de digues, enj
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nt et tournent, épousant les collines. Le sol des
plaines
environnantes paraît encore à nu dans les cours des hôtels, entre les
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vers le nord, l’Europe s’ouvre vers l’est par des
plaines
indéfinies. Ce n’est pas un fait géographique qui marque ses limites