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. On applaudit. Le président demande s’il y a des
questions
à poser. Long silence embarrassé. Enfin un type se lève au fond de la
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aucun rapport avec le sujet. Il n’y a pas d’autre
question
. Le président fait alors un bref remerciement à l’orateur. Il s’excus
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ien que c’est important de s’y connaître dans ces
questions
». Il s’exprime avec tant de prudence qu’on a peine à comprendre ses
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uver dans un ouvrage littéraire la solution d’une
question
précise. Grâce à Colette, je sais maintenant pourquoi notre chambre é
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r malchance, ce sont justement des réponses à des
questions
qu’on n’avait pas l’idée de se poser ; et c’est là qu’ils croient voi
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petits ou avec les gros. D’autre part, c’est une
question
de travail, de salaires, de prix de la vie, et là les intellectuels n
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à les intellectuels ne servent à rien. Enfin, les
questions
de personnes jouent un rôle : on aime avoir un député instruit. Mais
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er de sérieux. Mais il y a d’autres aspects de la
question
. Le sel ne se vend plus depuis un an, et c’était la ressource princip
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» sur un plan supérieur, d’aborder par exemple la
question
du capitalisme en général. Bref, lorsque vous montez dans l’autocar,
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ue vulgarise la propagande communiste. Mais leurs
questions
ne tardèrent pas à me rassurer. Plusieurs voulurent savoir si cela ma
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etc. Mais ce qui me surprit davantage, ce fut la
question
franche d’un garçon de vingt ans, costaud, l’air intelligent et ouver
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la même espèce que ceux de l’île : cette série de
questions
précises et ce désir de rapporter ce que j’avais dit à leur situation
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g, surtout dans un terrain sablonneux ». Reste la
question
de savoir s’il est normal de se déformer le corps pour gagner un peu
14
e monde rationnel est rassurant, mais beaucoup de
questions
y demeurent sans réponse, et des faims ancestrales sans pâture. D’où
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l’entrée, d’une Vérité supérieure ? Telle est la
question
que posèrent les premiers romantiques allemands. « Ils admettent tous
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pour la conscience ? Tieck pose très nettement la
question
: « Il faudrait savoir jusqu’à quel point nos songes nous appartienne
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t annexés ou colonisés l’un après l’autre ; 2° la
question
allemande ne sera pas réglée, fournissant un prétexte permanent à la
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hill, Alcide de Gasperi et Paul-Henri Spaak. À la
question
: « Qu’a-t-on fait jusqu’ici pour la fédération de l’Europe ? » cet h
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ir que la première session serait consacrée à des
questions
de procédure, car les statuts du Conseil de l’Europe étaient loin d’a
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essaires à l’union de l’Europe. C’est dire que la
question
centrale posée par les fédéralistes, celle d’un gouvernement au-dessu
21
e Mouvement européen n’osaient pas espérer que la
question
capitale s’imposerait tout naturellement, dans un délai aussi réduit.
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ques ainsi marquée, nous nous trouvons devant une
question
nue et simple, sur laquelle notre génération doit concentrer sa réfle
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Comment expliquer autrement qu’il soit admis sans
question
, de nos jours, que l’esprit subordonne ses intérêts à ceux de l’écono
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décadence ? Je crois que la sublime réponse à la
question
des lendemains nous a été donnée une fois pour toutes par la sentinel
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ntreprend des recherches sur l’état présent d’une
question
scientifique, sur les déficiences et les avantages culturels de l’Eur
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je désire. Mais eux voudraient me poser quelques
questions
. Mon opinion sur la neutralité de l’Inde ? Sur Nehru ? Éclair de magn
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er d’abord la liberté, sans laquelle il n’est pas
question
de réformes humainement valables ; ceux enfin qui se frappent la poit
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stes. Mais prenez l’affaire du Kashmir : là, plus
question
de plébiscite, idée quantitative et bien américaine ; il s’agit au co
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e avec simplicité. (Nous laissons sans réponse la
question
de savoir s’ils devraient être des Staline ou des Einstein, des Nehru
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cela va très bien ainsi. Mais il y a mieux. À la
question
posée par un autre institut de sondage de l’opinion publique : « D’un
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ux. (Reste 1 % pour les désespérés ou ceux que la
question
laisse froids.) Ce n’est pas que tout soit parfait dans la meilleure
32
’esprit sociologique du xxe siècle multiplie les
questions
de ce genre. Il est peut-être encore plus difficile d’y répondre dans
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ays où l’on pourrait poser au citoyen moyen cette
question
qui figure dans l’enquête intitulée Un jour en Suisse : « Estimez-vou
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suffiront pas à couvrir, peut-être. Et certaines
questions
qu’on se pose sur le sens final de tout cela… ⁂ Ce portrait, garanti
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l’autre à des formules de type fédéraliste. À la
question
que je me posais sur la prophétie proudhonienne, voici donc une premi