1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 . On applaudit. Le président demande s’il y a des questions à poser. Long silence embarrassé. Enfin un type se lève au fond de la
2 aucun rapport avec le sujet. Il n’y a pas d’autre question . Le président fait alors un bref remerciement à l’orateur. Il s’excus
3 ien que c’est important de s’y connaître dans ces questions  ». Il s’exprime avec tant de prudence qu’on a peine à comprendre ses
4 uver dans un ouvrage littéraire la solution d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintenant pourquoi notre chambre é
5 r malchance, ce sont justement des réponses à des questions qu’on n’avait pas l’idée de se poser ; et c’est là qu’ils croient voi
6 petits ou avec les gros. D’autre part, c’est une question de travail, de salaires, de prix de la vie, et là les intellectuels n
7 à les intellectuels ne servent à rien. Enfin, les questions de personnes jouent un rôle : on aime avoir un député instruit. Mais
8 er de sérieux. Mais il y a d’autres aspects de la question . Le sel ne se vend plus depuis un an, et c’était la ressource princip
9 » sur un plan supérieur, d’aborder par exemple la question du capitalisme en général. Bref, lorsque vous montez dans l’autocar,
10 ue vulgarise la propagande communiste. Mais leurs questions ne tardèrent pas à me rassurer. Plusieurs voulurent savoir si cela ma
11 etc. Mais ce qui me surprit davantage, ce fut la question franche d’un garçon de vingt ans, costaud, l’air intelligent et ouver
12 la même espèce que ceux de l’île : cette série de questions précises et ce désir de rapporter ce que j’avais dit à leur situation
13 g, surtout dans un terrain sablonneux ». Reste la question de savoir s’il est normal de se déformer le corps pour gagner un peu
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
14 e monde rationnel est rassurant, mais beaucoup de questions y demeurent sans réponse, et des faims ancestrales sans pâture. D’où
15 l’entrée, d’une Vérité supérieure ? Telle est la question que posèrent les premiers romantiques allemands. « Ils admettent tous
16 pour la conscience ? Tieck pose très nettement la question  : « Il faudrait savoir jusqu’à quel point nos songes nous appartienne
3 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
17 t annexés ou colonisés l’un après l’autre ; 2° la question allemande ne sera pas réglée, fournissant un prétexte permanent à la
18 hill, Alcide de Gasperi et Paul-Henri Spaak. À la question  : « Qu’a-t-on fait jusqu’ici pour la fédération de l’Europe ? » cet h
4 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
19 ir que la première session serait consacrée à des questions de procédure, car les statuts du Conseil de l’Europe étaient loin d’a
20 essaires à l’union de l’Europe. C’est dire que la question centrale posée par les fédéralistes, celle d’un gouvernement au-dessu
21 e Mouvement européen n’osaient pas espérer que la question capitale s’imposerait tout naturellement, dans un délai aussi réduit.
5 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
22 ques ainsi marquée, nous nous trouvons devant une question nue et simple, sur laquelle notre génération doit concentrer sa réfle
23 Comment expliquer autrement qu’il soit admis sans question , de nos jours, que l’esprit subordonne ses intérêts à ceux de l’écono
24 décadence ? Je crois que la sublime réponse à la question des lendemains nous a été donnée une fois pour toutes par la sentinel
25 ntreprend des recherches sur l’état présent d’une question scientifique, sur les déficiences et les avantages culturels de l’Eur
6 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
26 je désire. Mais eux voudraient me poser quelques questions . Mon opinion sur la neutralité de l’Inde ? Sur Nehru ? Éclair de magn
27 er d’abord la liberté, sans laquelle il n’est pas question de réformes humainement valables ; ceux enfin qui se frappent la poit
28 stes. Mais prenez l’affaire du Kashmir : là, plus question de plébiscite, idée quantitative et bien américaine ; il s’agit au co
29 e avec simplicité. (Nous laissons sans réponse la question de savoir s’ils devraient être des Staline ou des Einstein, des Nehru
7 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
30 cela va très bien ainsi. Mais il y a mieux. À la question posée par un autre institut de sondage de l’opinion publique : « D’un
31 ux. (Reste 1 % pour les désespérés ou ceux que la question laisse froids.) Ce n’est pas que tout soit parfait dans la meilleure
32 ’esprit sociologique du xxe siècle multiplie les questions de ce genre. Il est peut-être encore plus difficile d’y répondre dans
33 ays où l’on pourrait poser au citoyen moyen cette question qui figure dans l’enquête intitulée Un jour en Suisse : « Estimez-vou
34 suffiront pas à couvrir, peut-être. Et certaines questions qu’on se pose sur le sens final de tout cela… ⁂ Ce portrait, garanti
8 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
35 l’autre à des formules de type fédéraliste. À la question que je me posais sur la prophétie proudhonienne, voici donc une premi