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et utilisables ; et ceci à tous les degrés de la
réalité
, dans les grandes choses comme dans les choses de rien. Au lieu de ce
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sayant de le faire passer d’ores et déjà pour une
réalité
. Deuxième constatation : il est très difficile d’aimer des hommes qui
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cile d’aimer ces hommes, et cependant ils sont la
réalité
vivante et présente du « peuple ». Par contre, il est très facile de
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Abîme entre la politique des amis du peuple et la
réalité
du peuple : rien ne le rend plus sensible que cette différence de ton
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notiers et consommateurs. Le pain, la tombe. Deux
réalités
fondamentales. Voilà qui est bien dans l’harmonie de cette lande où l
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antage : tout cela est encore moins clair dans la
réalité
que dans ce résumé). Quand j’ai projeté sur la paroi blanche de la sa
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l y a, en France, un divorce angoissant entre les
réalités
humaines et la terminologie et la doctrine politiques. Les pages qu’o
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re est en incessante communication avec une autre
réalité
, plus vaste, antérieure et supérieure à la vie individuelle. » Mais q
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re à la vie individuelle. » Mais quelle est cette
réalité
? Notre nature profonde ou la divinité ? « Plus nous nous retirons en
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transformant mon âme, m’entraîna au-devant d’une
réalité
invisible, divine, d’une ineffable splendeur ? Un indicible ravisseme
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séparé du Tout. Et c’est cela qui constitue notre
réalité
de tous les jours. Pour rejoindre le Tout et l’Unité, il s’agit donc
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sur une contradiction irrémédiable entre la dure
réalité
et les désirs profonds du moi. Blessure si cruelle et intime que sa c
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lui et à travers lui que la conscience perçoit la
réalité
extérieure ; comme lui donc, cette réalité apparaîtra blessée et doul
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oit la réalité extérieure ; comme lui donc, cette
réalité
apparaîtra blessée et douloureuse. Se détester revient à détester le
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t oubli, de ce refus, le moi perd peu à peu de sa
réalité
: d’où le sentiment si fréquent chez la plupart des romantiques d’êtr
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à quelque chose qui le dépasse, il se donne à une
réalité
qui, souvent, ne tient pas compte de nos raisons, il s’impose une sor
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avenir, cet ersatz de l’au-delà. Nions donc cette
réalité
qui nous opprime si méticuleusement, tous ces articles du traité qui
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passionnés), et la volonté de s’enfermer dans une
réalité
impénétrable, indicible, incommunicable, et qui n’a point de « raison
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de l’âme et de la volonté, rejoindrait-on quelque
réalité
valable, et par la sensation directe du monde tel que le crée l’homme
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rle plus des lois économiques et de leurs fatales
réalités
: car ce sont les réalités d’un monde tout artificiel que nous, les h
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es et de leurs fatales réalités : car ce sont les
réalités
d’un monde tout artificiel que nous, les hommes, avons bâti selon nos
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ir incertain, au milieu du xixe siècle, quand la
réalité
politique de l’Europe était l’essor des grands nationalismes. Il y eu
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de, éclairant le chemin sous leurs pas, cache une
réalité
finale qui les surprenne. Christophe Colomb voyait les Indes, ou nomm
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trop tôt. Il reste encore à faire entrer dans la
réalité
le principal : la Constitution fédérale. Les commissions de l’Assembl
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de culture. Où commencent, où finissent ces deux
réalités
? À la fois dans l’espace et dans le temps, elles sont mouvantes et c
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de macération. Trois idées, devenues de nos jours
réalités
psychologiques, me paraissent typiquement d’Europe, en ce sens qu’ell
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action. ⁂ Essayons de saisir maintenant ces deux
réalités
, l’Europe et la culture, dans leur drame immédiat à nos vies. L’Europ
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us prétendre un seul instant être à l’échelle des
réalités
modernes ; encombrée de frontières intérieures ; épuisant sa vieille
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peut disputer sur les concepts, mais je parle de
réalités
: l’Europe et la culture universelle qu’elle a produite sont deux réa
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culture universelle qu’elle a produite sont deux
réalités
coextensives. Elles naissent et meurent du même mouvement. Qu’en est-
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ns nos peuples, suppose la reconnaissance de deux
réalités
qu’oublient généralement nos « réalistes ». La première, c’est que l
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ent compter et indexer : il y a des forces et des
réalités
longuement agissantes et soudain décisives que l’homme moyen ne peut
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peut-être précisément parce que ces forces et ces
réalités
étaient pour eux problèmes, contestations, conceptions idéales ou nos
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u dogme, l’autre à l’appropriation personnelle de
réalités
animiques, collectives (qu’on lui reproche de mal définir) et qu’il a
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e l’homme, le Tout Autre. Pour Jung, Dieu est une
réalité
psychique. Le théologien n’a que faire de la psychologie. Il la met e
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n mythe, d’une situation archétypique, donc d’une
réalité
de l’âme, — et c’est précisément dans la mesure où ils seraient un my
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ste une situation dans laquelle s’affrontent deux
réalités
humaines antinomiques mais également valables et vitales, de telle so
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’anarchie des individus isolés, qu’il s’agisse de
réalités
métaphysiques ou physiques, esthétiques ou politiques. Ce qui s’oppos
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de cette mise en tension, de cette composition de
réalités
contraires mais également valables, voilà je crois ce qui définit l’a
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il reste à repérer les principaux domaines de la
réalité
moderne où l’on retrouve les structures typiques d’un problème fédéra
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e humaine, c’est l’homme considéré dans sa double
réalité
d’individu distinct et de citoyen engagé dans la société. Pourvu de l