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s chaque forme et chaque geste sont dictés par le
rite
et revêtus de son autorité. Pourtant ce qui a suivi m’a troublé davan
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uisqu’il n’existe pas de culte public, ni même de
rites
communautaires ; à part les processions et fêtes périodiques ; enfin,
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mestiques des temples, utiles par leur savoir des
rites
de la naissance et de la mort, mais fort inférieurs aux brahmines. Co
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des Vedas, surtout par les écoles de Maîtres. Les
rites
sont familiaux, ou même individuels. Dans ce pays où les rues grouill