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ouloir l’instruction libre et gratuite pour tous,
sans
distinction de fortune ou de religion ! Être laïque… » Ah ! surtout,
2
Suit une petite discussion tout à fait confuse et
sans
aucun rapport avec le sujet. Il n’y a pas d’autre question. Le présid
3
, les secouer un peu ! Ils sont là à vous écouter
sans
bouger, comme ils ont écouté les autres qui disaient le contraire, et
4
par exemple, les aurait attaqués plus brutalement
sans
aucune précaution oratoire. Pourquoi ne pas saisir cette occasion de
5
eur confiance en leur parlant plus familièrement,
sans
faire d’éloquence ? Cela trancherait au moins sur la propagande élect
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eu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette,
sans
lumière, distinguant à peine la route asphaltée. Je roulais comme en
7
nous le trouvions mort. Et je l’avais oublié là,
sans
sépulture, caché sous des feuillages brunis. Si j’ajoute que la porte
8
orte d’entrée joint mal le seuil, tout s’explique
sans
peine désormais, grâce à la phrase de Colette. Je rapporte cette anec
9
s : la noblesse est dans l’usage. Pas de noblesse
sans
usage, sans application précise aux choses, etc. Ne montons plus au c
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sse est dans l’usage. Pas de noblesse sans usage,
sans
application précise aux choses, etc. Ne montons plus au ciel du secon
11
e doctrine analogue. Il est normal que les hommes
sans
culture se trompent sur la nature et sur le rôle de la culture. Mais
12
e, à quatre ou cinq. On boit et on tape le carton
sans
beaucoup de paroles. C’est à cela que se réduit la vie commune. Quelq
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ct, au niveau le plus bas où l’homme puisse vivre
sans
misère, sans ambitions, sans rêves, sans tristesse. Chacun pour soi s
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le plus bas où l’homme puisse vivre sans misère,
sans
ambitions, sans rêves, sans tristesse. Chacun pour soi sur sa parcell
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l’homme puisse vivre sans misère, sans ambitions,
sans
rêves, sans tristesse. Chacun pour soi sur sa parcelle de terre ingra
16
se vivre sans misère, sans ambitions, sans rêves,
sans
tristesse. Chacun pour soi sur sa parcelle de terre ingrate, dans sa
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la vie locale : elle la traversait abstraitement,
sans
la voir, sans tenir compte de ses circonstances. Sur ses bords ne viv
18
: elle la traversait abstraitement, sans la voir,
sans
tenir compte de ses circonstances. Sur ses bords ne vivait qu’une pop
19
z parcourir vingt fois la France de part en part,
sans
remarquer que les gens qui l’habitent ne sont pas tous de la même sor
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léchir, et de nous faire part de vos lumières, et
sans
vous, où irions-nous donc, nous qui ne croyons plus aux curés ! — Com
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pendant deux heures d’un pays d’énormes plaines,
sans
barrières ni haies, sans chemins creux et sans secrets, où les hommes
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pays d’énormes plaines, sans barrières ni haies,
sans
chemins creux et sans secrets, où les hommes vivent sans calcul ni pr
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s, sans barrières ni haies, sans chemins creux et
sans
secrets, où les hommes vivent sans calcul ni prudence, dans la misère
24
emins creux et sans secrets, où les hommes vivent
sans
calcul ni prudence, dans la misère et dans la communion, superstitieu
25
, en l’écoutant : « En voilà un que l’on pourrait
sans
honte présenter aux jeunes Russes, aux jeunes Allemands, comme un typ
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s rires que je craignais. (On peut donc gouverner
sans
être un monsieur en haut de forme ? Il a l’air d’un brave type comme
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plaint de son isolement. « On nous laisse seuls,
sans
direction. Nous ne savons pas que lire. Le travail est dur, ici. Il f
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de grosses fortunes en très peu de temps, parfois
sans
dépenser un seul bidon d’essence. Simplement, ils vendent la menace d
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rassurant, mais beaucoup de questions y demeurent
sans
réponse, et des faims ancestrales sans pâture. D’où renaît, peu à peu
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demeurent sans réponse, et des faims ancestrales
sans
pâture. D’où renaît, peu à peu, une angoisse nouvelle, une attraction
31
ivent être inépuisablement multipliées. Disons-le
sans
la moindre irrévérence : nul n’est plus verbeux qu’un mystique, si ce
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a « pure présence ineffable », la « contemplation
sans
objet ». Je pense donc qu’il est légitime de suivre Albert Béguin dan
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moi coupable et le monde réel. La « contemplation
sans
objet » à laquelle ils parviennent en de très rares instants n’est pl
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sure, ou plutôt l’élan même qu’elle a brisé, mais
sans
se l’avouer et sans pouvoir la reconnaître ou l’exprimer… C’est le mo
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an même qu’elle a brisé, mais sans se l’avouer et
sans
pouvoir la reconnaître ou l’exprimer… C’est le mouvement fondamental
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ls voulaient parler, cet Indicible ou ce discours
sans
mots entendu dans la nuit de la passivité, comment l’eussent-ils pu r
37
assivité, comment l’eussent-ils pu rendre au jour
sans
le trahir, et se trahir ? Ainsi leur œuvre est à l’image de la contra
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rage de s’avouer en toute lucidité, de s’exprimer
sans
réticences et d’assumer son moi coupable — parce que dorénavant ce n’
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obscur dont il n’a plus qu’à recevoir les ordres,
sans
trop chercher à les comprendre, comme « passif ». Le voilà délivré de
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us fait comprendre bien des choses à première vue
sans
liens intimes : la suppression du droit romain, le mépris des frontiè
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mon chapeau, où le contrôleur l’a pris et replacé
sans
me déranger dans la lecture de mon journal. Il n’y a que deux classes
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nt, qui se transformerait le soir en lit et d’où,
sans
se lever, l’on atteindrait le téléphone, la poignée du frigidaire, le
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a rivière, une proue grise et ses canons glissait
sans
bruit, un énorme croiseur défilait, tout l’équipage en fête saluant N
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d’un parcours rectiligne d’un kilomètre et demi,
sans
changer de largeur. (Seuls, les trottoirs se rétrécissent.) Cette rue
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ur y entrer. De la cuisine, on passe par une baie
sans
porte dans le frontroom, qui donne sur la rue. De l’autre côté de la
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l’autre côté de la cuisine, deux petites chambres
sans
fenêtres ni portes. Au fond, une autre pièce plus claire, sur la cour
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boissons, et nous nous appelons par nos prénoms,
sans
avoir jamais bien compris nos noms de famille. Hier, Robert m’a condu
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ste. Une petite ville internationale de province,
sans
grand avenir, qui vit déjà sur son passé d’un siècle… Robert me dépos
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x jeunes femmes très blondes boivent des whiskys,
sans
se déranger. Nous traversons toute la maison, puis une large galerie
50
un vallonnement et maintenant remontent vers nous
sans
ralentir. Une femme en jaune, suivie d’un homme. Comme ils s’approche
51
avez soif ? » Les coups de tonnerre se succèdent
sans
répit, et parfois les lumières vacillent, baissent, remontent… Paraît
52
is dix ans, les autostrades américaines allongent
sans
répit leur ruban de béton, semblables à la trace d’un grand fer à rep
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inépuisable d’un peuple libre, et qui voit grand
sans
se forcer. Voici enfin un spectacle émouvant qui n’effraye pas, mais
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par mille panneaux de toutes formes et couleurs.
Sans
relâche, ils croissent en gros plan et disparaissent en coup de vent,
55
sable » que l’on opposait d’une part à l’individu
sans
devoirs, et d’autre part à l’homme collectiviste, au soldat politique
56
part à l’homme collectiviste, au soldat politique
sans
droits. Mais puisqu’il s’agissait de s’engager, on s’appliquait à tir
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allait être effacé pour toujours. C’était compter
sans
les mouvements de Résistance. Dans les réseaux clandestins, dans les
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quablement dépourvus de moyens matériels, presque
sans
troupes derrière nous, et sans aucun appui de la part des gouvernemen
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matériels, presque sans troupes derrière nous, et
sans
aucun appui de la part des gouvernements. C’est ainsi qu’à Montreux n
60
ndum sur l’Assemblée européenne se voyait accepté
sans
réserve par le gouvernement français, bientôt suivi par le gouverneme
61
sse. ⁂ Il n’est point d’ordre économique possible
sans
une volonté préalable de mise en ordre politique. Il n’est point d’or
62
. Car les journaux ne sauraient décrire l’opinion
sans
la modifier : ce sont eux qui la déterminent en bonne partie. S’il le
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il faut éviter à tout prix de se porter en avant
sans
leur soutien. On serait tenté d’accuser ces prudents de scepticisme i
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s. La crise économique s’aggrave très rapidement (
sans
nulle prudence !) faute d’unité dans nos programmes de redressement.
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lue par l’Assemblée dès le 20 août, s’est engagée
sans
le moindre délai, dans l’étude des structures politiques nécessaires
66
t alors préfigurer le Cabinet fédéral de l’Union.
Sans
préjuger de l’issue d’un tel débat, l’on peut voir dès maintenant dan
67
ing things for us, Americans !… Car elles se font
sans
moyens “mesurables”, sans organisations “solides” à la yankee, et par
68
ns !… Car elles se font sans moyens “mesurables”,
sans
organisations “solides” à la yankee, et par la seule action, presque
69
s de telle manière que l’on ne peut définir l’une
sans
supposer l’existence de l’autre. Le premier caractère permanent de l’
70
bien rarement, obligé de redresser ses déviations
sans
cesse renaissantes par des réactions toujours renouvelées, un homme d
71
son milieu et ses données matérielles ou morales,
sans
se laisser arrêter par des constatations d’intérêt, de bon sens ou de
72
rté qu’on nous laisse est devenue presque vide et
sans
effets. À l’Est, nous voyons se former une véritable culture censoria
73
ant l’ère des nationalismes et de la souveraineté
sans
limites de l’État. Créatrice des richesses, de la puissance et du pre
74
que. Comment expliquer autrement qu’il soit admis
sans
question, de nos jours, que l’esprit subordonne ses intérêts à ceux d
75
soit qu’elle se contente d’une liberté honoraire,
sans
responsabilité, et d’un rôle de produit de luxe, alors c’est le sens
76
ces, et aussi du sens de la mesure, toutes choses
sans
lesquelles on ne crée rien de grand. La peinture ne se fait pas dans
77
ses mesures vivantes sera perdu. Mais en retour,
sans
une culture active rendue à l’efficacité, l’Europe ne peut recouvrer
78
me ? Son destin et non plus sa liberté ? L’Europe
sans
sa culture, réduite à ce qu’elle est, ne serait plus qu’un cap de l’A
79
es emprunts à notre fonds, mais développés là-bas
sans
mesure ni critique, méthodiquement, parfois jusqu’à la monstruosité12
80
s résolus par la seule grâce de notre union. Mais
sans
elle sera supprimée la possibilité de les résoudre un jour. Je ne dir
81
tre culture aussi, puisqu’il n’est pas de culture
sans
libre échange des idées, des personnes et des œuvres, et l’on sait ce
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serait absurde et vain d’essayer de sauver l’une
sans
l’autre. La seconde, c’est que le ressort intime, mais aussi le but f
83
principes originels, l’usage présent, et l’idéal
sans
cesse élargi de la liberté de pensée, qui est une garantie des autres
84
t sur un vaste patio où les voitures se succèdent
sans
relâche. Ma chambre a dix mètres sur cinq, et cinq de haut. Du plafon
85
t au fond de la pièce, devant une tenture sombre,
sans
nul bruit. Il m’est arrivé de sonner à nouveau n’entendant rien venir
86
i connaît ses dieux se conçoit dans leur ordre et
sans
autres problèmes, la faim n’étant qu’un ennemi. L’Occidental, qui ne
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aît plus, va voir ailleurs comment on croit, mais
sans
désir sérieux de partager la foi de ceux dont il admire qu’ils en aie
88
devant les grands hôtels, des fillettes aux yeux
sans
sourire, au corps d’une insensée gracilité, à peine vêtues d’un lambe
89
d, et ceux qui veulent sauver d’abord la liberté,
sans
laquelle il n’est pas question de réformes humainement valables ; ceu
90
res critiques sur le Congrès. Je quitterai l’Inde
sans
avoir voulu dire ce que j’en pense, qui se résume à ceci : si les anc
91
’il n’y avait point de civilisation, nous serions
sans
moyens techniques pour remédier à la famine. J’en trouve une preuve d
92
l’étroit espace devant l’autel, une femme debout,
sans
un geste. Parfois le prêtre en pagne sort d’un coin noir, et vient pl
93
boutiques, des passants à pieds nus qui circulent
sans
nous voir de leurs yeux fixes et ardents. Nous croise un être demi-nu
94
, et pas un sourire. La cloche d’un temple tinte,
sans
musique. On entend le frottement des pieds nus, des saris roses, viol
95
lit. C’est un chant du Mahabharata. Ils écoutent
sans
bouger, jeunes et vieux, le livre dont Gandhi chaque soir lisait quel
96
faiblement, s’immobilisent et la musique s’arrête
sans
conclusion, comme n’importe où. Les deux géants aux faces placides se
97
lles précis, par une détente d’une vigueur folle,
sans
la moindre trace de passion. Non, ni « beau » ni « grotesque » n’ont
98
, des acteurs absolus, des fonctions symboliques,
sans
conscience propre et séparée. Je serais tenté d’imaginer à la limite
99
iques de la danse que l’animal par ses instincts.
Sans
problèmes, sans contradictions, sans dualité dans la conscience, donc
100
e que l’animal par ses instincts. Sans problèmes,
sans
contradictions, sans dualité dans la conscience, donc sans aucune esp
101
s instincts. Sans problèmes, sans contradictions,
sans
dualité dans la conscience, donc sans aucune espèce de liberté possib
102
radictions, sans dualité dans la conscience, donc
sans
aucune espèce de liberté possible, s’il est vrai que toute liberté su
103
les figures d’un rêve, intensément précises mais
sans
échelle, chargées d’une indicible signification, mais capables à chaq
104
ans l’ombre des arcades, des milliers de dormeurs
sans
mouvement. Sur le dos, bouche ouverte, à même le sol dallé, sur le ve
105
de Bombay : comment font les autos pour traverser
sans
semer la mort à chaque instant, cette foule d’hommes en blanc qui mar
106
s deux trottoirs, quand il faut encore contourner
sans
les frôler les vaches accroupies ou couchées sur le flanc en plein mi
107
qui, de toute évidence envoûtante, se passe ici,
sans
manifestation. ⁂ Hindouisme. — Point d’Église, ni de hiérarchie, ni
108
laces, servis dans de petits bols que l’on dépose
sans
relâche et sans ordre sur le pourtour d’un grand plateau d’argent, de
109
ns de petits bols que l’on dépose sans relâche et
sans
ordre sur le pourtour d’un grand plateau d’argent, devant chaque conv
110
re différent qui ne vivra qu’une fois. Il résiste
sans
contre-attaque, sans chercher à détruire un ennemi étranger, car dans
111
ivra qu’une fois. Il résiste sans contre-attaque,
sans
chercher à détruire un ennemi étranger, car dans toute destruction vi
112
où je l’attendais, avant le repas, je n’étais pas
sans
inquiétude. J’arrivais à l’instant de Bombay, où notre Congrès s’étai
113
s toutes fraîches de son pays natal. Il est entré
sans
bruit, d’un pas rapide. Un peu voûté, l’air sérieux et distant. Il po
114
a tête et regardant sa main posée sur un coussin,
sans
réagir. Je ne sais pourquoi je me suis demandé, à ce moment-là, s’il
115
reille à l’opinion mondiale qui parle ici… » Mais
sans
me laisser achever ma citation : « Six ou sept ? me dit-il. Quels son
116
tranche la nièce avec simplicité. (Nous laissons
sans
réponse la question de savoir s’ils devraient être des Staline ou des
117
vec quelque distance. Un moraliste en somme, mais
sans
foi religieuse, et qui remplace les dogmes par quelques bons principe
118
sage, docte — un peu comme notre « docteur » mais
sans
brevet. 16. C’est dans cette intelligentsia de formation occidentale
119
t composite : vingt-cinq États distincts (quoique
sans
frontières sensibles), quatre langues, deux confessions majeures et t
120
araison des niveaux de vie. Ce sont des réalistes
sans
cynisme. Ils acceptent leur condition, parce qu’ils en connaissent bi
121
evenus que les socialistes d’antan revendiquaient
sans
trop oser y croire, et que les patrons modernes négocient posément av
122
nelle. Le Suisse s’expatrie facilement18 et passe
sans
nulle difficulté d’une commune ou d’un canton à l’autre, mais reste e
123
l rit beaucoup et facilement), qu’il est réaliste
sans
cynisme, qu’il accepte sa condition comme il approuve son régime poli
124
sont illustrés dans les domaines les plus divers.
Sans
prétendre à composer un portrait-robot du « grand homme suisse moyen
125
bre d’une carrière assez terne pour être acceptée
sans
histoires. « En épousant Genève, j’ai épousé la mort — celle de mon t
126
de la neutralité, « péché des Suisses », s’élève
sans
relâche contre la guerre froide, et se voit accusé de neutralisme par
127
par son affirmation d’un Dieu totaliter aliter et
sans
commune mesure avec les intérêts de la tribu, essentiellement protest
128
philosophes des religions de l’autre) coexistent
sans
se rencontrer, et aucune tentative d’intégration ou de synthèse même
129
éralisme pour un système d’unification intégrale,
sans
respect pour les diversités et les autonomies des pays membres, c’est
130
individu, la différence, de tout fondre dans l’Un
sans
distinction. Mais l’Occident, dès l’aube grecque, cherche à maintenir
131
Dieu et vrai homme… fils unique en deux natures,
sans
confusion (ni) séparation. L’union n’a pas supprimé la différence des
132
ême le modèle de la co-existence des deux natures
sans
confusion ni séparation et de l’union qui loin de supprimer la différ
133
es et solidaires : pour eux aussi, l’un n’ira pas
sans
l’autre, bien mieux : l’un — la solidarité — sera la garantie de l’au
134
conomique, ou certaines recherches scientifiques)
sans
léser les droits essentiels et l’autonomie des unités de base ? Comme
135
y faut une méthode vivante, celle que j’ai dite :
sans
cesse évaluer à nouveau la dimension des tâches à entreprendre, répar
136
ont se compose la fédération. Il est une symbiose
sans
confusion ni disparition des spécificités. » 27. H. Brugmans et P. D