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le de son éloquence, s’écrie : « Et, mes frères !
si
l’on vient encore vous dire que je suis un empoisonneur des conscienc
2
, c’est aimer son prochain comme Jésus nous aime.
Si
tous les hommes étaient chrétiens, il n’y aurait plus d’exploitation
3
nges, quoi ! Mais ici ils ne savent pas discuter.
Si
vous alliez à F…2 alors, c’est autre chose. Là ça barde, après les ré
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remercier M. Palut. Enfin il veut lui demander «
si
ce serait possible de se procurer une Bible pour étudier un peu tout
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un oncle qui est curé, mais je ne saisis pas bien
si
ce curé lui a interdit la lecture de la Bible, ou si, au contraire, i
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ce curé lui a interdit la lecture de la Bible, ou
si
, au contraire, il pourrait lui en prêter une. Quoi qu’il en soit, le
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ide, on peut lui parler en camarade : — Eh bien !
si
vous voulez mon opinion, ou si elle peut vous être utile… je crois qu
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rade : — Eh bien ! si vous voulez mon opinion, ou
si
elle peut vous être utile… je crois que vous êtes encore trop compliq
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ait de gagner leur confiance, et ensuite on verra
si
on peut aller plus loin. — Mais ne croyez-vous pas qu’on pourrait gag
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on dit « le peuple », la volonté du peuple, comme
si
on ne les avait jamais vus ou jamais aimés ! Là-dessus, quantité de p
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sans sépulture, caché sous des feuillages brunis.
Si
j’ajoute que la porte d’entrée joint mal le seuil, tout s’explique sa
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ance de cinéma. Il n’y aurait là rien d’étonnant,
si
l’on ne nous rebattait les oreilles de phrases sur la volonté et la m
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s, et grâce auxquelles on reconnaît tout de suite
si
un type est avec les petits ou avec les gros. D’autre part, c’est une
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e m’étonner de cette rencontre. 19 décembre 1933
Si
l’on veut réellement conduire un homme à un but défini, il faut avant
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inon mon savoir supérieur ne lui servira de rien.
Si
je persiste cependant à faire valoir ma science, ce n’est plus alors
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marque de Kierkegaard me frappe aujourd’hui comme
si
elle avait été écrite exprès pour moi, dans ma situation actuelle. El
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ple » qu’il s’agit d’aider, et que je vois encore
si
mal. (Ce qui ne m’a pas empêché jusqu’ici de m’occuper de politique,
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lus qu’il ne serait nécessaire à leur subsistance
si
la répartition des terres était conçue, non point selon les principes
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beaucoup de choses pourraient être changées. Mais
si
personne ne fait rien par le moyen normal de l’éducation, il n’y a pl
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rs jours par l’allure et les façons de travailler
si
spéciales des gens d’ici, j’ai hésité longtemps à croire que la raiso
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ournaux de campagne. 15 février 1934 Les gens. —
Si
j’avais une âme de philanthrope, je chercherais à répandre mes idées
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. Il faut parler d’abord des autocars. Je ne sais
si
l’on se doute à Paris de l’importance des autocars et des transformat
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. N’était-ce pas là l’une des raisons qui faisait
si
facilement nier la subsistance des « petites patries » dans la nation
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ou le député, ou divers margoulins, topazes, etc.
Si
l’on a le temps, il n’est pas impossible de pousser la « discussion »
25
ent pas à me rassurer. Plusieurs voulurent savoir
si
cela marchait vraiment là-bas, aussi bien que j’avais pu le laisser c
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as, aussi bien que j’avais pu le laisser croire ;
si
ce n’était pas encore un de ces régimes de dictature ; si les paysans
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était pas encore un de ces régimes de dictature ;
si
les paysans avaient plus de liberté qu’auparavant, etc. Mais ce qui m
28
l pensait qu’en Vendée les choses ne seraient pas
si
simples, que la situation matérielle était meilleure et demandait un
29
r les faits que je venais d’exposer, afin de voir
si
mes auditeurs étaient de la même espèce que ceux de l’île : cette sér
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nts. Ce n’est point du hasard qu’ils sont nés. Et
si
tout nous invite à rechercher leur secrète complicité, rien n’est plu
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Déjà E. T. A. Hoffmann insinue la réponse : « Et
si
un principe spirituel étranger à nous-mêmes était le mobile de ces ir
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jettent à la traverse de nos idées d’une manière
si
brusque et si saisissante ? » De là à penser que le rêve est « un ves
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traverse de nos idées d’une manière si brusque et
si
saisissante ? » De là à penser que le rêve est « un vestige du divin
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de supérieur, c’est entrer dans la voie mystique.
Si
la plupart des romantiques n’ont pas choisi en toute clarté — ruse vi
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psychanalystes. Au fond, lorsqu’ils se demandent
si
le rêve est connaissance ou illusion, et si c’est « l’Autre », ou le
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ndent si le rêve est connaissance ou illusion, et
si
c’est « l’Autre », ou le moi sombre et son néant, que l’on atteint au
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é des plus furtives promesses de bonheur, surtout
si
elles sont assez obscures et ambiguës pour échapper au froid contrôle
38
évérence : nul n’est plus verbeux qu’un mystique,
si
ce n’est un romantique allemand. Car l’un et l’autre ont l’ambition d
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ur dire que rien ne saurait être dit… Et pourtant
si
, romantiques et mystiques sont persuadés que, nonobstant leur impuiss
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orporelle et spirituelle. Mais d’une constatation
si
générale, comment passer à l’élucidation de ce fait le plus singulier
41
e réalité et les désirs profonds du moi. Blessure
si
cruelle et intime que sa conscience en évite le souvenir (ou le refou
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naît de cet obscur déchirement : « C’était comme
si
le poids de son existence l’eût accablé. Qu’il dût, jour pour jour, s
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à cause de cette blessure qu’il s’agit d’oublier
si
l’on ne parvient pas à l’expier. Et en effet, à la faveur de cet oubl
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perd peu à peu de sa réalité : d’où le sentiment
si
fréquent chez la plupart des romantiques d’être mal assuré de sa prop
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indiscernablement. Les romantiques n’ont pas été
si
loin dans la voie des sublimations — sauf peut-être Jean-Paul et Nova
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u-delà. Nions donc cette réalité qui nous opprime
si
méticuleusement, tous ces articles du traité qui nous accusent, toute
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fumerolles au ras de l’asphalte et le vent fou !
Si
le détail est laid, voyez l’ensemble. Pour un homme qui est seul, Man
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e dans un chaos géométrique, c’est bien New York…
Si
je me retourne un peu sur ma terrasse, voici la perspective de l’East
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nos caprices, nos passions et nos raisons folles.
Si
nous changions un jour de goûts et d’ambition, ce paysage se transfor
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oûts et d’ambition, ce paysage se transformerait.
Si
je me tourne vers le nord, je vois un monde de terrasses, du dixième
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. Aujourd’hui, je suis président du club de golf.
Si
les affaires vont bien, après la guerre, j’espère m’acheter de nouvea
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s pour faire la guerre, mais il reste évident que
si
les deux Grands continuent à se déclarer la paix sur ce ton-là, cela
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uble constatation sont d’une tragique simplicité.
Si
les choses continuent comme elles vont : 1° les différents pays de l’
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’est l’humanité tout entière qui sortira vaincue.
Si
nous voulons sauver chacun de nos pays, il faut donc commencer par le
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nos pays, il faut donc commencer par les unir. Et
si
nous voulons sauver la paix, ou plutôt faire la paix, il nous faut co
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ompromis, de l’inventer pour les deux autres. Que
si
l’on me dit alors que l’Europe même unie serait encore trop faible po
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que, autant que la Russie et tous ses satellites.
Si
ces 320 millions d’habitants faisaient bloc, soit qu’ils se déclarent
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i font la richesse de l’Europe, et qui la rendent
si
difficile à gouverner. La première tâche qui s’imposait, c’était de
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la nommerais plutôt la position fédéraliste. Car
si
l’on veut que les peuples soient représentés, c’est que l’on veut abo
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ltat des discussions de notre section économique,
si
l’on songe qu’elle a pu réunir, sous le signe de l’Europe, des hommes
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dre : où prendrez-vous le temps d’être prudents ?
Si
nous craignons d’aller trop vite, aux yeux de l’expérience d’autres é
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s menaces de guerre sont là. Demandez à l’opinion
si
elle est mûre pour la guerre ! Elle hésite à vous suivre à cause de v
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nseil de l’Europe tel qu’il existe. Certes. Mais,
si
le Conseil existe, n’est-ce point précisément parce que certains pion
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t pas la moins valable). On ne s’en étonnera pas,
si
l’on sait que les deux tiers des députés qui siégeaient à Strasbourg
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abitude d’y travailler ensemble. On s’est demandé
si
ces premiers succès laissaient encore une raison d’être suffisante au
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r les diversités nationales, dont nous avons tiré
si
grand parti avant que le phénomène de l’étatisme ne les sclérose et n
67
et jusque dans nos vies privées, cette lutte est
si
violente et douloureuse, si concrète qu’on se voit dispensé de toute
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vées, cette lutte est si violente et douloureuse,
si
concrète qu’on se voit dispensé de toute autre considération philosop
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e qui doit fatalement se transformer en contrôle,
si
nous ne savons pas en tirer parti d’ici deux ans ; tandis que l’autre
70
et qualifié de sabotage. La censure politique est
si
parfaitement préventive qu’elle peut s’offrir le luxe de disparaître
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donne un inquiétant avertissement, il suggère que
si
la culture reste encore libre en Occident, c’est peut-être dans la me
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ribuent aucune « utilité pratique ». Inversement,
si
l’une de ses activités se révèle « pratiquement utilisable » au servi
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l’inverse, les régimes totalitaires de l’Est ont
si
bien vu l’importance primordiale de la culture qu’ils l’ont immédiate
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puissance et donc de notre indépendance. De plus,
si
la culture accepte d’être privée théoriquement et pratiquement de la
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qu’il faut sauver l’Europe et sauver la culture.
Si
je pensais, comme certains, qu’il est trop tard, je me tairais, ou je
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ricain. Mais il est impossible de sauver l’Europe
si
l’on ne sauve pas en même temps sa culture ; ou de sauver la culture
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sa culture ; ou de sauver la culture occidentale
si
l’on ne sauve pas en même temps sa patrie. Rien ne sert de faire dure
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ne sert de faire durer, de conserver la créature,
si
l’on tarit les sources de sa recréation perpétuelle. Et rien ne sert
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ne sert non plus d’entretenir le désir créateur,
si
on le prive des possibilités de s’accomplir dans une libre communauté
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bilités de s’accomplir dans une libre communauté.
Si
l’Europe est réduite à l’impuissance politique, si elle est colonisée
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i l’Europe est réduite à l’impuissance politique,
si
elle est colonisée par l’Amérique — ce qu’elle désire parfois — ou en
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e la planète. Mais ce foyer fatalement s’éteindra
si
la puissance doit nous être interdite, car la puissance est mère des
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la science s’arrête quand l’audace est un crime.
Si
l’Europe disparaît du jeu des forces mondiales, personne ne pourra re
84
. Que servirait à l’Europe de recevoir une unité,
si
ce n’était pas celle de son choix ? Et si cette unité signifiait sa d
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unité, si ce n’était pas celle de son choix ? Et
si
cette unité signifiait sa défaite, non point sa conquête sur elle-mêm
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usqu’à la monstruosité12. Mais s’il en est ainsi,
si
tels sont nos atouts, d’où vient notre faiblesse et notre angoisse ?
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immédiat. Presque toutes ces raisons tomberaient,
si
demain nos frontières tombaient. Certes, il y a des symptômes de cris
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pas suffisante. Une mitrailleuse ne sert à rien,
si
l’homme qui la reçoit refuse de s’en servir, parce qu’il ignore ce qu
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c’est que l’Europe est une culture (civilisation
si
l’on préfère) ou n’est qu’un appendice insignifiant de l’Asie. Et cel
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lu dire ce que j’en pense, qui se résume à ceci :
si
les anciens Hindous, les Égyptiens, les Sumériens et les Romains, si
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ous, les Égyptiens, les Sumériens et les Romains,
si
les Occidentaux eux-mêmes avaient déclaré en leur temps : point de cu
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je pour lutter ici contre la force d’un proverbe,
si
convaincu que je sois qu’il dit faux, que ce sont les repus qui n’éco
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ait quelques extraits à ses disciples. Je ne sais
si
j’ai rien vu de plus touchant, ni jamais un groupe d’hommes plus dign
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ou de pétales de fleurs emplissant des corbeilles
si
fraîches à voir. Dans la fournaise d’une petite place, vers midi, j’h
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aste. La suppression des castes, admise en droit,
si
elle devenait jamais effective, entraînerait d’infinies conséquences
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hésitants et l’on se plaint de leur retard, mais
si
l’URSS nous envoie deux wagons de céréales, on salue la grandeur du g
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gt sortes diverses posés devant nous, et guettant
si
je les aime ; parlant de tout pour ne parler de rien peut-être, s’amu
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les Suisses bénéficient vraiment d’une sensualité
si
violente qu’un rien, la moindre négligence risquerait de la porter au
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sait de grands efforts pour traiter sa bru ‟comme
si
elle était l’une des nôtres”, tout en sachant fort bien que ‟ces mari
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visible. Comment veut-on qu’un étranger le voie ?
Si
cet étranger vient chez nous et cite l’un des Suisses qu’il connaît p
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ciaux ou civiques, éducatifs ou spirituels, comme
si
le fait d’être utiles excusait leurs grands dons aux yeux de leur con
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mmunautés ou cités libres, comme Rousseau l’avait
si
bien vu ; ni aux conditions de développement, de rentabilité et de sé
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ntends immunisé contre le virus totalitaire. Mais
si
le fédéralisme apparaît bien comme le remède spécifique au stato-nati
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sbourg, il se verrait obligé de quitter le comité
si
l’on adoptait ma proposition. Je compris par la suite que ce haut fon
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qu’ici, disait-il, nous sommes fédéralistes ! »
Si
pareils malentendus sont le fait d’Européens professionnels ou de gar
106
ages de comportement” dont Bertrand de Jouvenel a
si
justement mis en vedette l’importance historique.27 » Nous voici loin