1 i rassemble les peuples et les pousse à créer des signes visibles de leur union : assemblées, fêtes, cortèges, uniformes ou ch

2 terreurs d’une intensité séduisante. Serait-il le signe , ou l’entrée, d’une Vérité supérieure ? Telle est la question que pos

3 oints. Au départ, cette même attention prêtée aux signes , aux intuitions, aux rencontres fortuites en apparence, mais que l’âm

4 ntée par les poètes, n’était que le symbole et le signe physique6. C’est « le royaume de l’Être qui se confond avec le royaum

5 monde. L’incapacité d’accepter le monde réel est signe d’une incapacité de s’accepter soi-même — à cause de cette blessure q

6 el ; ce désespoir, s’il est conscient, un dernier signe de la vie… Non, j’ai surtout senti le désespoir tout court dans cette

7 mique, si l’on songe qu’elle a pu réunir, sous le signe de l’Europe, des hommes aussi divers que le dirigiste André Philip, l

8 a circulation bien ordonnée de ces quartiers, des signes brefs et toujours inquiétants, le cri précipité et comme rageur d’un

9 ndu d’un seul voile de soie noir chargé de larges signes d’or, Çakuntala dansait des danses classiques de l’Inde ancienne. Deu

10 che : lieu sacré. Un homme, sur le seuil, fait un signe . Je ne comprends pas. Je passe le porche. Saisissement dès l’entrée d

11 à la nuit ? Ne trouverait-il pas au contraire ce signe d’inquiétude et de contradiction, cette petite cicatrice secrète qui

12 vantage. La paresse est une déficience, et non le signe éventuel d’une sagesse libérée des contingences. Je ne connais pas d’

13 ique surtout par d’autres causes. Il n’est pas le signe d’un quelconque « relâchement moral » (comparé à la Suisse patriarcal

14 Il est clair que c’est l’un et l’autre, selon le signe dont on affecte les notions de révolte, ou d’intégration sociale, de