1 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
1 e ou illusion, et si c’est « l’Autre », ou le moi sombre et son néant, que l’on atteint au fond de l’inconscient, ils formulen
2 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
2 un coach. Je me suis enfoncé dans le velours bleu sombre et j’ai regardé mes voisins, car nous roulions dans un tunnel. Dans l
3 de des écuries.) Nous pénétrons dans un vestibule sombre . La maîtresse de maison est sortie à cheval. Promenons-nous en l’atte
4 nouveau, des ifs non taillés sur un pré d’un vert sombre enclos de murs. Du lierre partout. Çà et là, des statues de faunes et
3 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
5 ar l’est ont été suivies généralement de périodes sombres , d’épuisement ou de destruction, tandis que les poussées venues du Pr
4 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
6 araissent au fond de la pièce, devant une tenture sombre , sans nul bruit. Il m’est arrivé de sonner à nouveau n’entendant rien
7 reflets aux vitres de milliers de bow-windows, la Sombre Chose, grouillante et mystérieuse, tapie tout près d’ici peut-être, c
8 sous la veille, instante et pourtant dérobée, la Sombre Chose pressentie, qui parfois nous envoie, mêlés à la circulation bie
9 vert assourdi. Des yeux brillent dans les portes sombres . Çà et là, un homme prie, accroupi contre un mur. Il règne dans tout
10 nt. Il porte une longue veste de soie d’un violet sombre , semée de fleurs gris-clair et jaunes. Pantalons blancs étroits, soul