1 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
1 oir fédéral, mettant un terme au règne féodal des souverainetés nationales absolues. La position dite britannique (en fait, celle de
2 : pratiques) qui ne porteront aucune atteinte aux souverainetés nationales, et ne troubleront pas l’économie travailliste dans son au
2 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
3 érale implique certaines limitations précises des souverainetés nationales. (Et pour ma part, je m’explique mal comment M. Churchill
4 éclarer qu’on ne touchera pas à ces sacro-saintes souverainetés .) Mais au lieu de discuter sur l’abandon des privilèges féodaux des É
3 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
5 rmations pendant l’ère des nationalismes et de la souveraineté sans limites de l’État. Créatrice des richesses, de la puissance et d
4 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
6 r nous administrer les preuves méticuleuses d’une souveraineté que nul ne songe à contester. On nous demande pourquoi nous venons ic
5 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
7 ce qu’on persiste à nommer son indépendance et sa souveraineté absolue : car nul pays de notre Europe n’est plus en mesure de jouer