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oir fédéral, mettant un terme au règne féodal des
souverainetés
nationales absolues. La position dite britannique (en fait, celle de
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: pratiques) qui ne porteront aucune atteinte aux
souverainetés
nationales, et ne troubleront pas l’économie travailliste dans son au
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érale implique certaines limitations précises des
souverainetés
nationales. (Et pour ma part, je m’explique mal comment M. Churchill
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éclarer qu’on ne touchera pas à ces sacro-saintes
souverainetés
.) Mais au lieu de discuter sur l’abandon des privilèges féodaux des É
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rmations pendant l’ère des nationalismes et de la
souveraineté
sans limites de l’État. Créatrice des richesses, de la puissance et d
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r nous administrer les preuves méticuleuses d’une
souveraineté
que nul ne songe à contester. On nous demande pourquoi nous venons ic
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ce qu’on persiste à nommer son indépendance et sa
souveraineté
absolue : car nul pays de notre Europe n’est plus en mesure de jouer