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es blanches, ornée de colonnes et d’un fronton de
temple
grec. Je compte beaucoup de barbes longues et bouclées. La rue est sa
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s, on ne sait, aux larges portes à barreaux : les
temples
. Au fond de l’ombre, un autel s’illumine. Étoffes rouge et or derrièr
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Peu de bruits, et pas un sourire. La cloche d’un
temple
tinte, sans musique. On entend le frottement des pieds nus, des saris
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co, qui évoque un pavillon de foire et qui est un
temple
. En réalité toute cette cour, avec les vaches et leur mine sacrée, le
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idèles muets, forme l’antichambre ou le parvis du
temple
. D’où l’impression de solennité, dès le premier regard jeté de la rue
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spect pour les prêtres, sortes de domestiques des
temples
, utiles par leur savoir des rites de la naissance et de la mort, mais
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re le salut. Je revois ces femmes seules dans les
temples
étroits, intimes avec le dieu, tournant le dos aux passants. Et ces h