1
s vives » de chaque nation (syndicats, religions,
universités
, etc.), le Mouvement européen défendit ce point de vue dans son mémor
2
n marché ; la littérature ne se crée pas dans les
universités
et les bibliothèques, mais dans le champ libre des passions ; la phil
3
placeront de plus en plus l’anglais jusque dans l’
université
, c’est regrettable mais inévitable ; parlant des fruits confits de vi
4
s années, on put entendre le recteur d’une de nos
universités
cantonales condamner le principe d’une subvention fédérale « parce qu
5
autonomie. Quelques exemples : 1. Le problème des
universités
résulte d’un couple d’exigences contradictoires, qui paraissent exclu
6
hitecturales : prenez les conflits actuels dans l’
université
, en tous pays et tous régimes politico-économiques. Ils ont pour moti
7
te : commencer par réévaluer les dimensions d’une
université
digne du nom, ménageant des possibilités de recherches très spécialis
8
de Goettingen aux recteurs européens en 1964m. L’
université
fut une commune libre au Moyen âge. Toute vie civique, depuis la cité