1
rien, nous courons admirer ceux qui vénèrent les
vaches
. L’homme qui connaît ses dieux se conçoit dans leur ordre et sans aut
2
s Indiens religieux vénèrent jusqu’à la bouse des
vaches
sacrées, dont ils enduisent le four de leur cuisine, ou qu’ils s’appl
3
and il faut encore contourner sans les frôler les
vaches
accroupies ou couchées sur le flanc en plein milieu de la chaussée. M
4
ts. Sur les grandes dalles de pierre, l’urine des
vaches
sacrées se répand lentement en larges nappes. À droite, sous un auven
5
un temple. En réalité toute cette cour, avec les
vaches
et leur mine sacrée, le pipal, l’autel, la fontaine, les fleurs offer
6
t à grands pas les rues encombrées de piétons, de
vaches
, de zébus et d’autos, allant ailleurs, on ne sait où, mais on ne peut
7
ne. Les autres sont assez connus. Des milliers de
vaches
sacrées, d’ailleurs malades, embarrassent la circulation. Des million