1
ur dépeindre, même faiblement, la merveille de la
vision
qui s’offrit à moi et qui, transformant mon âme, m’entraîna au-devant
2
l’homme, s’il n’est orienté dès le départ par une
vision
libératrice et fascinante. L’Europe se fera, en dépit des experts (qu
3
ront vue et marchent vers elle. Il se peut que la
vision
qui les guide, éclairant le chemin sous leurs pas, cache une réalité
4
ophe Colomb voyait les Indes, ou nommait ainsi sa
vision
. Contre vents et marées, contre tous les experts de son équipe, il se