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sujet. Il y a… tout près d’ici… quelqu’un — je ne
veux
pas le nommer, je n’attaquerai personne, moi ! — il y a, dis-je, quel
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tion vibrante de la laïcité. « Être laïque, c’est
vouloir
la justice et l’égalité pour tous ! Être laïque, c’est vouloir l’inst
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stice et l’égalité pour tous ! Être laïque, c’est
vouloir
l’instruction libre et gratuite pour tous, sans distinction de fortun
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t contradictoire. Je vous demanderai donc de bien
vouloir
proposer des noms. » Silence. Chuchotements. — Vas-y ! — Non ! Moi ?
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e un peu étonné à son tour : « Qu’est-ce que vous
voulez
, il n’y a rien à répondre, c’est juste, ce qu’il a dit ! Il connaît b
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après les réunions ! Mais ici, qu’est-ce que vous
voulez
? Ils sont comme ça… » Je vais me présenter au conférencier, et nous
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ejoint : c’est celui qui a présidé la réunion. Il
veut
encore remercier M. Palut. Enfin il veut lui demander « si ce serait
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nion. Il veut encore remercier M. Palut. Enfin il
veut
lui demander « si ce serait possible de se procurer une Bible pour ét
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peut lui parler en camarade : — Eh bien ! si vous
voulez
mon opinion, ou si elle peut vous être utile… je crois que vous êtes
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e est même littéralement sensationnelle, mais que
veulent
-ils qu’on en fasse ? Nous avons tout à rapprendre de Goethe. Non seul
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ien, qui ne nous demandent rien, qui peut-être ne
voudraient
pas même de notre aide (nous égalent les intellectuels bourgeois). Il
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ner de cette rencontre. 19 décembre 1933 Si l’on
veut
réellement conduire un homme à un but défini, il faut avant tout se p
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. Mais cela n’a pas marché. La tradition de l’île
veut
que chaque champ soit partagé à la mort du propriétaire en autant de
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guerre, et rien ne s’est refait depuis. Quand on
veut
danser, on fait venir l’orchestre-jazz du chef-lieu : il arrive dans
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Le monsieur rencontré dans l’autocar de Taillefer
voulait
savoir quel était mon métier. Et quand j’eus dit que je n’en avais au
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estions ne tardèrent pas à me rassurer. Plusieurs
voulurent
savoir si cela marchait vraiment là-bas, aussi bien que j’avais pu le
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demandait un développement tout différent ; qu’on
voulait
surtout, par ici, garder sa liberté et se gouverner comme on l’entend
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ar le péché originel : « Sous quelque angle qu’on
veuille
l’examiner, l’homme trouve en lui une blessure qui déchire tout ce qu
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bition de tous les vrais mystiques. Mais pourquoi
voudrait
-on mourir ? La biographie de plusieurs des poètes étudiés par Béguin
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ui du Créateur. Créer, c’est donner forme, et ils
voudraient
nier les formes ; c’est limiter, et ils aspirent à l’expansion indéfi
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x souvenirs d’un rêve qui s’efface. Cela dont ils
voulaient
parler, cet Indicible ou ce discours sans mots entendu dans la nuit d
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uveau les forces de l’individu, plutôt qu’elle ne
veut
les détruire. Elle engage dans le monde actif, au lieu que le romanti
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ge dans le monde actif, au lieu que le romantique
voulait
s’en évader. Elle nous rend enfin responsables vis-à-vis de notre pro
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la légitimité d’une vocation. Thérèse d’Avila ne
voulait
accepter que les révélations qui la portaient à quelque action pratiq
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e inventées par des rationalistes, alors que nous
voulons
une passion nouvelle ! Et de même que le romantique oubliait son moi
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ion de l’inconscience collective et d’une foi qui
veut
témoigner par la Parole et l’acte personnel. 6. En effet, pour les
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Mais je ne sais pas recevoir ! dit-elle moqueuse.
Voulez
-vous que je vous joue du piano ? Pour faire croire que je n’ai pas pe
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umanité tout entière qui sortira vaincue. Si nous
voulons
sauver chacun de nos pays, il faut donc commencer par les unir. Et si
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, il faut donc commencer par les unir. Et si nous
voulons
sauver la paix, ou plutôt faire la paix, il nous faut commencer par f
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ême pas les staliniens, ou pas comme cela) : « Je
veux
une Europe désunie… » En revanche, beaucoup pensent : « Tout cela est
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erais plutôt la position fédéraliste. Car si l’on
veut
que les peuples soient représentés, c’est que l’on veut aboutir à aut
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ue les peuples soient représentés, c’est que l’on
veut
aboutir à autre chose qu’au « Corps consultatif » accepté par les Cin
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rgissent, dans nos divers pays, des instituts qui
veulent
travailler pour l’Europe. Coordonner toutes ces initiatives dans le c
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ous les noms de libéralisme et de dirigisme.) Que
veulent
les unionistes ? L’Europe unie, bien sûr. Mais pas trop vite, ni trop
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onniers ont ignoré ce genre de raisonnements, qui
voudraient
faire passer pour réalisme la soumission au statu quo ? D’autre part,
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les définir que de les sauver. Aussi bien n’ai-je
voulu
mentionner certaines données fondamentales que dans la mesure où ce r
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avec les chances de l’homme. C’est pourquoi nous
voulons
sauver l’Europe. Non point pour l’opposer aux grandes nations nouvell
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ès se tient-il à Bombay ? — Parce que M. Nehru le
veut
ainsi. (Réponse propre à faire croire au fonctionnaire que c’est M. N
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Bombay.) L’officier n’est pas bien convaincu : il
voudrait
obtenir des réponses qu’il connaît. Finalement : — Où habiterez-vous
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eur dis que c’est tout ce que je désire. Mais eux
voudraient
me poser quelques questions. Mon opinion sur la neutralité de l’Inde
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ant leur porte, se réforment d’abord, et ceux qui
veulent
sauver d’abord la liberté, sans laquelle il n’est pas question de réf
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ait son importance, les trois suiveurs semblaient
vouloir
montrer avec insistance qu’ils suivaient. ⁂ Le prêtre, le swami, le h
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onnaître. Elle se dit neutre, comme quelqu’un qui
voudrait
bien se rendormir. Mais l’image du réveil est trompeuse. Je n’ai pas
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dienne, montre les Suisses tels qu’ils sont et se
veulent
. Ceux qui refuseront de s’y reconnaître ne seront sans doute pas les
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condamne à demeurer à peu près invisible. Comment
veut
-on qu’un étranger le voie ? Si cet étranger vient chez nous et cite l
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épasse, mais dans le seul sens qu’elle ait jamais
voulu
se permettre : celui de la cure d’âme et d’esprit, et non de la spécu
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à et au-delà de toute dogmatique. Alors que Barth
veut
définir ce qui est vrai « en Dieu » selon la Parole de Dieu, Jung rec
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sse en l’homme, selon les mythes universels. L’un
veut
amener l’individu à l’obéissance au Dieu biblique et transcendant du
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nt, pour mieux affirmer la seule foi, autant Jung
veut
s’ouvrir aux messages chiffrés des religions de toute la terre. L’un
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ophia æterna de la mythologie gnostique. Barth se
veut
strictement « canonique » dans son interprétation de la Bible, mais J
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de fédération et de fédéralisme. Pour ma part, je
voudrais
maintenant proposer quelques définitions, puis les relier à des situa
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ement et de mobilité… La situation de l’homme qui
veut
à la fois sa vie privée et une vie sociale est homologue à la situati
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ale est homologue à la situation de la région qui
veut
à la fois son autonomie et sa participation à un plus grand ensemble,
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marché, trop serré avec d’autres chez soi, et qui
voudrait
être enfin seul, sort et se mêle à la foule anonyme… Mais c’est une m
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de forces proportionnées à la puissance que l’on
veut
obtenir et en même temps multiplier les petites unités de base, de ma