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actes. Voici ce que disent les personnalistes : l’
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et les institutions doivent être mis au service de l’homme ; or, c’es
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or, c’est l’inverse qui se passe aujourd’hui ; l’
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et les institutions doivent avoir pour seul but d’assurer à chacun le
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rsonne ni exercer sa vocation ; combattre aussi l’
État
totalitaire, qui opprime toute vocation non conforme à ses cadres sim
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ement vrai, d’une vision vraie de l’homme et de l’
État
, de reprendre les choses à la base, dans leur réalité dernière, métap
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rsatz : la fonction du citoyen à l’intérieur de l’
État
ou du Parti, conformément au décret de l’État ou du Parti. Elles nien
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e l’État ou du Parti, conformément au décret de l’
État
ou du Parti. Elles nient l’existence de toute différenciation ou la q
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anique et rigide, qu’elle soit imposée d’en haut (
État
, tyran), ou d’en bas (égalitarisme poussé à l’extrême) nient la vocat
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ne vocation) avant les droits et les devoirs de l’
État
(l’organisme dont le devoir est d’assurer la liberté de l’individu au
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ue qui fait de l’homme le jouet des intérêts de l’
État
, d’un trust, de la production matérielle, de la volonté de puissance
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urs pouvoirs temporels, justement contestés par l’
État
. Puis elles eurent à défendre leurs pouvoirs spirituels, certains Éta
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nt à défendre leurs pouvoirs spirituels, certains
États
s’étant laissé aller à les revendiquer injustement. Les docteurs de l
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t cette démission de la pensée et de la morale, l’
État
se voit forcé d’étendre ses pouvoirs, à coups de décrets si généraux
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sse, ont presque tué, laissant le champ libre à l’
État
et à ses réglementations, souvent utiles, mais qui ne sont jamais règ