1 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
1 signe une conception générale de vie — politique, économique , éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules
2 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
2 ances collectives, de masses électorales, de lois économiques . Un jeu secret qui se joue sur nos têtes et dont la Presse nous donne
3 » telle qu’elle est devenue. Ni les congrégations économiques , ni les forces irrationnelles de la race, de la classe ou des nationa
4 ienne à construire une doctrine, sociale, morale, économique , qui puisse s’imposer au grand nombre sans violences, sans mensonges,
5 e repentent et qui croient, non point une théorie économique passagère. On a tort d’attaquer uniquement le prétendu matérialisme s
6 nt aucun rapport avec la morale pratique du monde économique et financier. Tout le monde sait que la morale des affaires est à peu
7 le contraire de la morale, et que les nécessités économiques ne tiennent pas compte de nos beaux idéaux. Il résulte de ce divorce
8 rsonnalisme ; voilà son but, à la fois politique, économique et culturel. Ici, la vérité est mise au premier rang : le succès même
3 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
9 applications sociales, culturelles, politiques ou économiques , il semblerait bon de fixer certains principes ou stades intermédiair
10 cice d’une vocation. Elle condamnera tout système économique qui fait de l’homme le jouet des intérêts de l’État, d’un trust, de l
11 (de droite), l’intérêt national ou la prospérité économique . Le devoir des Églises est de repenser toutes ces catégories et de le