1
la foi. Dans les deux cas, marquons-le bien, il s’
agit
de salut. Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le
2
question de mots ? Dans l’un et l’autre cas, il s’
agit
bel et bien de savoir quel sens l’homme veut donner à sa vie, comment
3
r le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’
agir
pour soi, et non pour Dieu. C’est maintenant au tour de l’humaniste d
4
s un chrétien à cet instant et dans cet acte ; il
agit
en humaniste. Il témoigne de sa défiance à l’endroit de la Providence
5
méthodique suffit à convaincre le lecteur qu’il s’
agit
bien ici d’une science ? Il y a deux raisons d’en douter. La première
6
Semeur, Paris, novembre 1934, p. 29-35. d. Il s’
agit
d’une note critique de La Foi à la résurrection de Jésus dans le chri
7
ue personne peut-être, la vanité de toute action,
agit
tout de même, non point parce qu’il distingue un succès possible et p
8
e mot-là, afin que vous ne pensiez pas qu’il ne s’
agit
ici que de pathos sentimental. Action, et non pas sentiment, ni piété
9
chrétien, ni parti politique. — Pourtant, il faut
agir
! Pourtant, la vocation qui nous envoie dans la cité reste impérieuse
10
ésume en effet dans ce seul mot de vocation. Il n’
agit
pas au bénéfice d’un parti. Il prêche et il proteste au nom d’une foi
11
ion personnelle. Et c’est dans cet esprit qu’il s’
agit
de rebâtir l’économie et les cadres sociaux. Vous voyez que nous retr
12
tuelle du chrétien. Mais vous voyez aussi qu’il s’
agit
là d’une révolution profonde, car rien n’est plus profond qu’un chang
13
née de la Déclaration des droits de l’homme, il s’
agit
de donner à la société de demain une déclaration des devoirs de l’hom
14
nvers lui-même et son prochain. Mais d’abord il s’
agit
, pour les groupes personnalistes, de dénoncer et de combattre tout ce
15
is, par exemple, sont plus pratiques, lorsqu’il s’
agit
de politique, — et qu’on n’arrive à rien quand on vise si haut. Des m
16
ble, c’est qu’un chrétien n’ait pas la vocation d’
agir
, de faire acte de présence à la misère du siècle, de protester contre
17
te, l’Église perd ses moyens les plus efficaces d’
agir
sur le siècle, de transformer ses croyances en action créatrice. Les
18
roposons une réponse simple. Les Églises pourront
agir
et inspirer si elles sont fondées sur une doctrine ferme et complète.
19
a floraison du Moyen âge, qui fut son œuvre. Il s’
agit
de restaurer le sens de la communauté vivante, que le gigantisme de n
20
ture vivante, laissant celle-ci désorientée. Il s’
agit
que nos théologiens adoptent une politique d’intervention, et non de
21
r, Paris, février–mars 1949, p. 342-344. l. Il s’
agit
d’une réponse à une enquête introduite par la lettre suivante d’André