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perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux
attitudes
prend une forme encore plus précise, il devient l’antagonisme de deux
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e au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’
attitude
de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui u
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être une simple conception philosophique, est une
attitude
devant la « vie pratique » — comme on dit, mais y en a-t-il une autre
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comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une
attitude
qui se mêle constamment à l’existence des chrétiens eux-mêmes. Ce n’
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quent trop bien. En somme, il adopte à peu près l’
attitude
d’un juge d’instruction qui aurait choisi comme prévenus les auteurs
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ne en permanence dans son esprit : mais c’est une
attitude
« scientifique » nullement sceptique ; c’est même, si l’on veut, une
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’ardeur messianique, ne sont plus aujourd’hui des
attitudes
chrétiennes ; mais voilà le motif de notre action : nous attestons la
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soupçonner de sabotage ceux qui maintiennent une
attitude
de critique exigeante ou un sens normal de la justice. En outre, la g
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ment du christianisme. Elle peut se rallier à une
attitude
politique, inspirée par un pur humanisme. Mais, dans le domaine de la
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êmes que nous parvenons à connaître les autres. L’
attitude
générale serait alors d’approfondir et d’intégrer le plus possible ch
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onduit dans un climat rationaliste, n’est pas une
attitude
de créateur. L’art suppose une orthodoxie, un parti pris, un fanatism