1 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
1 monde. C’est là le fait. Mais notre foi proteste au nom de Dieu contre ce fait ! Elle appelle un monde nouveau, elle affirme une
2 ue s’il est par ailleurs dénoncé, ouvertement, et au nom de la foi. J’ajouterai cependant une remarque. Si je refuse d’adhérer pr
3 nt la plus grande révolution occidentale, — c’est au nom de leur seule vocation. Eux n’ont pas dit que la vocation ne suffisait p
2 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
4 tres. Sa parole n’aura de poids que si elle parle au nom de sa propre théologie, et en rattachant ce qu’elle dit de la façon la p
5 t autorité dans la mesure où elles interviendront au nom de leur théologie. Elles auront autorité si elles se montrent exigeantes
6 cette vocation. Elle condamnera, par conséquent, au nom de la théologie, les grandes machines bureaucratiques dans lesquelles le
7 atériels d’accomplir sa vocation. Elles le feront au nom de leur doctrine, et avec une grande précision. Elles ne le feront pas a
8 avec une grande précision. Elles ne le feront pas au nom de conceptions purement humanistes ou religieusement neutres comme le pr
3 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
9 ains, s’instaure sur notre planète, ce ne sera qu’ au nom de ce qui transcende nos attachements nationaux, politiques et raciaux.