1
st qu’une assurance-paradis. Mais le reproche est
aussi
misérable qu’injurieux, si l’on songe que ce « paradis » doit être pa
2
s l’espoir de provoquer quelques réactions. C’est
aussi
dans l’espoir de vous faire mieux sentir à quel point l’humanisme, lo
3
ait pas moins une fraude. En face d’affirmations
aussi
déconcertantes et aussi graves, le lecteur se sent autorisé à la plus
4
. En face d’affirmations aussi déconcertantes et
aussi
graves, le lecteur se sent autorisé à la plus grande exigence critiqu
5
avant tout à la critique interne des textes, mais
aussi
, nous venons de le voir, à des données psychologiques et historiques
6
nclusions négatives de M. Goguel sont loin d’être
aussi
ruineuses pour la foi que beaucoup de croyants ne le craignent. Pour
7
solidarité avec la forme du monde présent, refuse
aussi
toute solidarité avec l’espoir de ceux qui souffrent et qui créent. M
8
es seuls désirs humains, qu’il a certainement lui
aussi
, mais qu’il n’aurait aucun droit de prêcher. S’il annonce, s’il prêch
9
de la politique chrétienne, permettez-moi d’être
aussi
bref que catégorique. Si nous considérons l’histoire, si nous écouton
10
ause des erreurs qu’il comporte, disent-ils, mais
aussi
je suppose, à cause de certaines vérités assez gênantes qu’il représe
11
condamnons en bloc le socialisme, nous condamnons
aussi
une part de vérité d’origine proprement chrétienne. Le socialisme s’e
12
me, les revendications pratiques seront peut-être
aussi
les mêmes, dans bien des cas. Mais les motifs premiers, les buts dern
13
éaliste et comme si les chrétiens ne vivaient pas
aussi
de pain. Le grand danger du socialisme n’est pas dans son matérialism
14
cadre du parti. Mais si je refuse ce parti, c’est
aussi
parce qu’il est un parti, précisément. Tout le monde fait aujourd’hui
15
thomiste, j’opposerai une image moderne, qui est
aussi
celle d’un chrétien dans la cité, mais qui n’est pas cette fois une u
16
vre dans les quartiers miséreux, ne serait-ce pas
aussi
faillir à notre vocation tout humblement humaine, professionnelle ? J
17
. Or c’est précisément cette tâche écrasante mais
aussi
enthousiasmante, cette tâche de recréer une mesure et une morale comm
18
exigence spirituelle du chrétien. Mais vous voyez
aussi
qu’il s’agit là d’une révolution profonde, car rien n’est plus profon
19
e une personne ni exercer sa vocation ; combattre
aussi
l’État totalitaire, qui opprime toute vocation non conforme à ses cad
20
pas toujours entendre une voix intérieure. Il y a
aussi
des voix qui nous appellent de l’extérieur, et qui nous montrent, ici
21
t, l’emploi de la seconde personne est la règle ;
aussi
ne peut-on lire ces méditations sans se sentir pris à partie et direc
22
le domaine de l’esprit, un goût d’aventure, mais
aussi
une extrême simplification intellectuelle. Nous avons vu apparaître q
23
re social que l’on peut appeler chrétien. On peut
aussi
accepter l’idée d’une vocation générale ou collective, appliquée à un
24
epoussé une menace, au prix de sacrifices presque
aussi
grands que ceux qu’elles eussent été contraintes de subir en se renda