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aques contre un christianisme confondu d’ailleurs
avec
une certaine « culture », il ne semble pas que ces deux auteurs aient
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ire cette histoire trop bien faite, et à démolir,
avec
une sorte de minutieuse indifférence, tous les récits bibliques relat
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d on compare les résultats obtenus par M. Goguel,
avec
le texte biblique intégral, on est frappé de voir que le récit se tro
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l ne fait-il pas comme les premiers croyants — et
avec
la même bonne foi — de la rétrohistoire, de l’imagerie psychologique
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tus, à condition toutefois qu’elles se confondent
avec
celles de la bourgeoisie. Et maintenant nous comprendrons peut-être m
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forme du monde que protestent les socialistes, et
avec
eux des masses grandissantes de bourgeois lentement dépossédés des pr
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e le croyant, parce qu’il refuse toute solidarité
avec
la forme du monde présent, refuse aussi toute solidarité avec l’espoi
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e du monde présent, refuse aussi toute solidarité
avec
l’espoir de ceux qui souffrent et qui créent. Mais s’il accepte prati
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er à coups de canon contre les ouvriers de Vienne
avec
l’appui du parti clérical, — l’histoire des politiques chrétiennes se
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s politiques chrétiennes se confond séculairement
avec
l’histoire des trahisons les plus flagrantes du christianisme. Voilà
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amené à me méfier, ou tout au moins à m’approcher
avec
une prudence critique extrême, de ce que l’on nomme l’idéal socialist
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nte application : « Il ne faut pas jeter l’enfant
avec
le bain. » Jetons le bain marxiste, mais gardons l’enfant ! Car si no
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prement chrétienne. Le socialisme s’est identifié
avec
la défense des humbles : si nous ne faisons pas mieux que lui à cet é
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idée même de parti paraît absolument incompatible
avec
l’idée de vocation. Et la réalité pratique et quotidienne montre que
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awa n’hésite pas. Il va vivre dans les bas-fonds.
Avec
un peu d’argent que lui donne une mission américaine — très peu d’arg
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par des vocations précises reçues dans la prière,
avec
crainte et tremblement, et non pas revendiquées par le désir des homm
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et de respect de l’homme qui n’ont aucun rapport
avec
la morale pratique du monde économique et financier. Tout le monde sa
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vocations dans la cité : dénoncer le capitalisme
avec
son principe immoral de la spéculation et du commerce de l’argent ; c
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, lisez L’Ordre nouveau , mettez-vous en rapport
avec
leurs groupes : vous y trouverez toute une tactique nouvelle d’action
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e d’action sociale, toute une tactique de rupture
avec
le désordre établi, jusque dans le détail de la vie. Et si, comme chr
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’établira contre le christianisme et probablement
avec
les orientations suivantes : science, (scientisme), eudémonisme païen
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les réformes de Luther et de Calvin combattirent
avec
succès la Renaissance et inspirèrent un vaste mouvement culturel. Plu
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ns seulement se demander si cela était compatible
avec
sa foi. Car en fait la théologie avait cessé d’être vivante, précise
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) Et, en second, lieu, si la culture perd contact
avec
l’Église, avec sa doctrine et son culte, l’Église perd ses moyens les
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, lieu, si la culture perd contact avec l’Église,
avec
sa doctrine et son culte, l’Église perd ses moyens les plus efficaces
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igeantes au lieu de se désintéresser ou de suivre
avec
retard les tendances du jour. Vocation : le principe fondamental
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liberté d’obéir à sa vocation sont incompatibles
avec
le christianisme. Par exemple, toutes les idéologies totalitaires nie
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ociale. Elles sont, par conséquent, incompatibles
avec
l’ordre chrétien qui présuppose l’union dans la diversité. Toutes les
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ndaleuse. Ces doctrines sont par là incompatibles
avec
l’ordre chrétien, qui implique l’union et non l’uniformité et qui res
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tion. Elles le feront au nom de leur doctrine, et
avec
une grande précision. Elles ne le feront pas au nom de conceptions pu
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le sillage de mouvements entrepris par d’autres,
avec
des motifs et pour des buts qui ne sont pas nécessairement chrétiens.
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osophique ni régionale, et sans aucun lien défini
avec
une communauté réelle et b) nationalisme, autarchie spirituelle. La v
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éléments devraient être conciliés et sauvegardés
avec
vigilance — l’élément d’universalisation et celui de distinction. Il
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de qu’à la question : « Si le sel perd sa saveur,
avec
quoi la lui rendra-t-on ? », les catholiques modernes répondaient dan
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holiques modernes répondaient dans l’ensemble : «
Avec
du sucre ! » Remarque hélas valable pour bien d’autres Églises, et qu
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ises, et qui résume toute une époque. Je pense qu’
avec
la guerre, cette époque a pris fin. Et je fonde cette croyance sur qu
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firmer leurs positions parfois les plus extrêmes,
avec
une belle indépendance vis-à-vis des critiques de l’extérieur. Renais
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es ont, tout simplement à donner leurs croyances,
avec
une agressive naïveté ; elles ont à tendre une perche à ceux qui se n
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ndre la triste et inefficace moralité bourgeoise,
avec
laquelle trop de chrétiens confondent aujourd’hui la vertu, quand ils
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nd ils ne vont pas jusqu’au point de l’identifier
avec
la « vie chrétienne », et qu’elle restaure chez les fidèles le sens d
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çà des risques de la vie. 4. Que l’Église affirme
avec
force, dans le domaine politique, la Transcendance de son chef, contr
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e central, assez précis, et notre but : converser
avec
les étudiants qui s’inquiètent de la beauté dans l’existence actuelle