1 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
1 aques contre un christianisme confondu d’ailleurs avec une certaine « culture », il ne semble pas que ces deux auteurs aient
2 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
2 ire cette histoire trop bien faite, et à démolir, avec une sorte de minutieuse indifférence, tous les récits bibliques relat
3 d on compare les résultats obtenus par M. Goguel, avec le texte biblique intégral, on est frappé de voir que le récit se tro
4 l ne fait-il pas comme les premiers croyants — et avec la même bonne foi — de la rétrohistoire, de l’imagerie psychologique 
3 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
5 tus, à condition toutefois qu’elles se confondent avec celles de la bourgeoisie. Et maintenant nous comprendrons peut-être m
6 forme du monde que protestent les socialistes, et avec eux des masses grandissantes de bourgeois lentement dépossédés des pr
7 e le croyant, parce qu’il refuse toute solidarité avec la forme du monde présent, refuse aussi toute solidarité avec l’espoi
8 e du monde présent, refuse aussi toute solidarité avec l’espoir de ceux qui souffrent et qui créent. Mais s’il accepte prati
9 er à coups de canon contre les ouvriers de Vienne avec l’appui du parti clérical, — l’histoire des politiques chrétiennes se
10 s politiques chrétiennes se confond séculairement avec l’histoire des trahisons les plus flagrantes du christianisme. Voilà
11 amené à me méfier, ou tout au moins à m’approcher avec une prudence critique extrême, de ce que l’on nomme l’idéal socialist
12 nte application : « Il ne faut pas jeter l’enfant avec le bain. » Jetons le bain marxiste, mais gardons l’enfant ! Car si no
13 prement chrétienne. Le socialisme s’est identifié avec la défense des humbles : si nous ne faisons pas mieux que lui à cet é
14 idée même de parti paraît absolument incompatible avec l’idée de vocation. Et la réalité pratique et quotidienne montre que
15 awa n’hésite pas. Il va vivre dans les bas-fonds. Avec un peu d’argent que lui donne une mission américaine — très peu d’arg
16 par des vocations précises reçues dans la prière, avec crainte et tremblement, et non pas revendiquées par le désir des homm
17 et de respect de l’homme qui n’ont aucun rapport avec la morale pratique du monde économique et financier. Tout le monde sa
18 vocations dans la cité : dénoncer le capitalisme avec son principe immoral de la spéculation et du commerce de l’argent ; c
19 , lisez L’Ordre nouveau , mettez-vous en rapport avec leurs groupes : vous y trouverez toute une tactique nouvelle d’action
20 e d’action sociale, toute une tactique de rupture avec le désordre établi, jusque dans le détail de la vie. Et si, comme chr
4 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
21 ’établira contre le christianisme et probablement avec les orientations suivantes : science, (scientisme), eudémonisme païen
22 les réformes de Luther et de Calvin combattirent avec succès la Renaissance et inspirèrent un vaste mouvement culturel. Plu
23 ns seulement se demander si cela était compatible avec sa foi. Car en fait la théologie avait cessé d’être vivante, précise
24 ) Et, en second, lieu, si la culture perd contact avec l’Église, avec sa doctrine et son culte, l’Église perd ses moyens les
25 , lieu, si la culture perd contact avec l’Église, avec sa doctrine et son culte, l’Église perd ses moyens les plus efficaces
26 igeantes au lieu de se désintéresser ou de suivre avec retard les tendances du jour. Vocation : le principe fondamental
27 liberté d’obéir à sa vocation sont incompatibles avec le christianisme. Par exemple, toutes les idéologies totalitaires nie
28 ociale. Elles sont, par conséquent, incompatibles avec l’ordre chrétien qui présuppose l’union dans la diversité. Toutes les
29 ndaleuse. Ces doctrines sont par là incompatibles avec l’ordre chrétien, qui implique l’union et non l’uniformité et qui res
30 tion. Elles le feront au nom de leur doctrine, et avec une grande précision. Elles ne le feront pas au nom de conceptions pu
31 le sillage de mouvements entrepris par d’autres, avec des motifs et pour des buts qui ne sont pas nécessairement chrétiens.
32 osophique ni régionale, et sans aucun lien défini avec une communauté réelle et b) nationalisme, autarchie spirituelle. La v
33 éléments devraient être conciliés et sauvegardés avec vigilance — l’élément d’universalisation et celui de distinction. Il
5 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
34 de qu’à la question : « Si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on ? », les catholiques modernes répondaient dan
35 holiques modernes répondaient dans l’ensemble : «  Avec du sucre ! » Remarque hélas valable pour bien d’autres Églises, et qu
36 ises, et qui résume toute une époque. Je pense qu’ avec la guerre, cette époque a pris fin. Et je fonde cette croyance sur qu
37 firmer leurs positions parfois les plus extrêmes, avec une belle indépendance vis-à-vis des critiques de l’extérieur. Renais
38 es ont, tout simplement à donner leurs croyances, avec une agressive naïveté ; elles ont à tendre une perche à ceux qui se n
39 ndre la triste et inefficace moralité bourgeoise, avec laquelle trop de chrétiens confondent aujourd’hui la vertu, quand ils
40 nd ils ne vont pas jusqu’au point de l’identifier avec la « vie chrétienne », et qu’elle restaure chez les fidèles le sens d
41 çà des risques de la vie. 4. Que l’Église affirme avec force, dans le domaine politique, la Transcendance de son chef, contr
6 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
42 e central, assez précis, et notre but : converser avec les étudiants qui s’inquiètent de la beauté dans l’existence actuelle