1 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
1 réponses à leurs questions, de conseils, d’idéaux catholiques — au sens étymologique du mot — de solutions « totale » dans le domai
2 ne donnent pas cette direction ferme et vraiment catholique (embrassant tous les aspects de la vie), l’abîme s’élargira entre le
3 recte à cette théologie. C’est ainsi que l’Église catholique romaine fut à la tête du mouvement philosophique du Moyen Âge, que le
4 n question, comme c’est le cas dans les instituts catholiques et à l’Université calviniste de Hollande. Mais, en même temps, pouddr
2 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
5 sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on ? », les catholiques modernes répondaient dans l’ensemble : « Avec du sucre ! » Remarque h
6 ance du thomisme et des études mystiques chez les catholiques  ; restauration de la dogmatique réformée grâce au mouvement initié pa
3 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
7 gleterre, la Pologne que le Danemark, l’Allemagne catholique que la luthérienne, ou la France catholique que la calviniste. J’ai l
8 magne catholique que la luthérienne, ou la France catholique que la calviniste. J’ai l’idée que le contraire aurait un peu plus de
9 ’ont pas produit de nos jours de grands écrivains catholiques , et, même, plusieurs de leurs auteurs les plus connus disent préférer
10 S’il paraît probable que le nombre des écrivains catholiques , protestants, juifs et athées correspond à peu près au nombre des cat
11 ifs et athées correspond à peu près au nombre des catholiques , protestants, etc., dans le monde, depuis quatre siècles, il reste qu
12 e qu’aujourd’hui beaucoup d’auteurs se proclament catholiques ou athées, créent leur œuvre en tant que tels, militent comme tels, t
13 ns protestants au sens où Claudel est un écrivain catholique , Eliot un écrivain anglican. Et, pour les mêmes raisons, l’on peut at