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re où l’on est décidé à refuser tous les conflits
concrets
et les décisions qu’ils comportent. Nous refusons toute problématique
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contre toute vraisemblance. Prenons des exemples
concrets
. Un chrétien qui contracte une assurance sur la vie n’est plus un ch
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qu’elle se trouve engagée dans un conflit réel et
concret
, exigeant une décision. 2. Ch. Westphal rappelait la phrase de Ferna
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ntenant nous comprendrons peut-être mieux le sens
concret
de la question, à laquelle je vais limiter mes réflexions, ce soir :
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alable, brutale : cette vocation a-t-elle un sens
concret
? Conduit-elle à des actes ? Et ces actes eux-mêmes, auront-ils la mo
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e. Me voilà bien loin, pensez-vous, des problèmes
concrets
que pose la cité. Encore un qui s’évade ! Encore un qui décolle et va
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e création. Je vous proposerai donc deux exemples
concrets
de vocation chrétienne dans la cité. Et d’abord, à l’image que je vo
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ocations, refaire un monde à la mesure de l’homme
concret
, de la personne, voilà le mot d’ordre du personnalisme ; voilà son bu
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nde où les chrétiens trouveraient une chance plus
concrète
, une meilleure raison d’espérer. Je dis bien, une chance concrète. Ce
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illeure raison d’espérer. Je dis bien, une chance
concrète
. Certes, le mouvement personnaliste est encore jeune, et n’a pas remu