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n « arrière-monde » qui serait comme une revanche
contre
tout l’imparfait de « ce bas-monde », mais une revanche à bon marché,
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gie et de courage. Pour eux, le christianisme est
contre
l’homme. 2. À cela, les chrétiens répondent : Comment l’homme s’aimer
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ts en se soulevant par la chevelure. 3. Humanisme
contre
christianisme, n’est-ce donc qu’un conflit d’amour, assez touchant ?
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ue tout sur la foi, c’est-à-dire sur l’invisible,
contre
toute vraisemblance. Prenons des exemples concrets. Un chrétien qui
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néreux que se veuille le second dans ses attaques
contre
un christianisme confondu d’ailleurs avec une certaine « culture », i
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t plus — se dit-on — ni luttes sociales, ni lutte
contre
la nature définitivement asservie. Cet homme sera-t-il encore humain
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ouvient de l’ouvrage décisif que M. Goguel publia
contre
les thèses de M. Couchoud3. Plus récemment, il nous donnait une volum
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rdité. Sommes-nous bien des David prêts à marcher
contre
Goliath, ou simplement de tout petits Don Quichotte s’excitant à une
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une telle prière nous charge d’une responsabilité
contre
laquelle aucune raison ne prévaudra jamais. Elle est un ordre, que no
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ômage, là c’est la tyrannie des dictatures. C’est
contre
la forme du monde que protestent les socialistes, et avec eux des mas
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à le fait. Mais notre foi proteste au nom de Dieu
contre
ce fait ! Elle appelle un monde nouveau, elle affirme une nouvelle ap
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de toutes nos forces son retour ! Nous protestons
contre
ce monde au nom d’une justice triomphante, et c’est elle que nous ann
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nts : une protestation, une annonce. Protestation
contre
la forme de ce siècle, annonce active de sa transformation. Ici se po
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hancelier Dollfuss faisant tirer à coups de canon
contre
les ouvriers de Vienne avec l’appui du parti clérical, — l’histoire d
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que : l’exemple du parti socialiste. Protestation
contre
la forme actuelle du monde, prédication active de sa transformation,
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rdons-nous de l’attaquer ! Le socialisme proteste
contre
les conditions actuelles du travail ; il revendique une justice plus
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ifférence : le chrétien ne proteste pas seulement
contre
des abus politiques, mais contre le péché, à travers ces abus. Le chr
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te pas seulement contre des abus politiques, mais
contre
le péché, à travers ces abus. Le chrétien n’annonce pas seulement une
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lu de cette distinction, nous risquons de prêcher
contre
Dieu en travaillant à leurs côtés ! Nous connaissons des chrétiens so
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r réussi pratiquement, ils ne peuvent se défendre
contre
le jugement qui les renvoie au magasin des accessoires du stupide xix
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roles de la nouvelle génération en pleine révolte
contre
la tyrannie bancaire et puritaine, Waldo Franck, a écrit une phrase q
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e de présence à la misère du siècle, de protester
contre
elle, et d’annoncer sa foi dans la transformation promise de toutes c
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eligieux et la culture. Cette dernière s’établira
contre
le christianisme et probablement avec les orientations suivantes : sc
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soumettant au code chrétien, soit en se révoltant
contre
lui. (Les grandes philosophies modernes, celles de Descartes et de He
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ustement. Les docteurs de l’Église se défendaient
contre
les attaques successives du scepticisme né de la science cartésienne,
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les. Quant aux fidèles, ils avaient à se défendre
contre
la menace quotidienne, innombrable, et sans cesse accrue, mais d’une
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tiens. L’ère des argumentations « scientifiques »
contre
la Genèse, la Création du monde par Dieu, sa Fin, l’existence de l’es
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domaine politique, la Transcendance de son chef,
contre
tous les absolutismes nationaux, étatiques, partisans. Si jamais un e
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u lui courait après. Elle en tirait des arguments
contre
une orthodoxie vieillie, et, finalement, contre l’orthodoxie en soi.
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s contre une orthodoxie vieillie, et, finalement,
contre
l’orthodoxie en soi. C’était tarir une des sources de l’art. Certes,