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eur.) M. Goguel ne fait-il pas comme les premiers
croyants
— et avec la même bonne foi — de la rétrohistoire, de l’imagerie psyc
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’être aussi ruineuses pour la foi que beaucoup de
croyants
ne le craignent. Pour deux raisons. La première, qu’il indique lui-mê
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e l’homme non chrétien. Il ne sera pas dit que le
croyant
, parce qu’il refuse toute solidarité avec la forme du monde présent,
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nifie pour eux le compromis entre leurs motifs de
croyants
et les motifs des camarades. Pensant à eux, je résumerai toute ma cri
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t se donnent, sans la moindre équivoque, pour des
croyants
et pratiquants. Quant aux deux meilleurs poètes anglais de l’époque,