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, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons
donc
à serrer un peu les deux termes de notre sujet, cherchons à dégager l
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lure. 3. Humanisme contre christianisme, n’est-ce
donc
qu’un conflit d’amour, assez touchant ? Est-ce à celui qui soignera l
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mander à Dieu des « avantages » humains. (Comment
donc
les connaîtrait-il ? Comment pourrait-il les nommer, s’il n’a d’abord
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versets a été ajouté après coup. Il le retranche
donc
. Cela fait, nous dit-il, « le récit est bien homogène ». Certes. Mais
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e, et que l’homme s’ordonne à son Dieu. Tel était
donc
mon rêve, mon imagination de l’homme chrétien dans la cité chrétienne
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mphante, et c’est elle que nous annonçons : ainsi
donc
, ces deux temps de notre vocation révèlent un fait unique, renvoient
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dernier de l’action ? Et je demande encore : qui
donc
osera poser ces grandes questions dernières, si ce n’est le chrétien,
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par là même, appelle notre protestation. Quel est
donc
le rôle de l’Église ? Est-il de prêcher l’Évangile, ou bien de faire
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acte, et tout acte est un engagement. Nous voici
donc
en face de la seconde question : celle de l’adhésion à l’un ou l’autr
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ation particulière du chrétien. Je me contenterai
donc
d’examiner un seul exemple, le plus riche à mon sens, et peut-être le
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nom d’une volonté de création. Je vous proposerai
donc
deux exemples concrets de vocation chrétienne dans la cité. Et d’abo
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bstraite. Que faut-il entendre par là ? Qu’est-ce
donc
que la personne humaine ? Exactement et tout simplement, la personne,
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personnaliste : tout cela est possible, tout cela
donc
nous appelle. Ce qui est impossible, c’est qu’un chrétien n’ait pas l
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te de toute activité intellectuelle. Il nous faut
donc
prévoir un abaissement général du niveau d’instruction, une déflation
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it cessé d’être vivante, précise et exigeante, et
donc
source d’inspiration. Le thomisme a inspiré Dante, le calvinisme Remb
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ême temps un stimulant et un guide. Premièrement,
donc
, si l’Église n’a rien à donner, si elle n’a rien à exiger de la cultu
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te : toute vocation est sans précédent, et paraît
donc
« invraisemblable » à celui qui la reçoit. Exemple, Abraham. j. Rou