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es. Ils les accusent de faire appel à une Volonté
dont
l’opération, à leurs yeux, anéantit celle de la volonté humaine, ou l
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t, il nous donnait une volumineuse Vie de Jésus 4
dont
le succès fut grand et les conclusions vivement discutées. L’ouvrage
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voir, à des données psychologiques et historiques
dont
le dosage et la valeur sont très variables. Il semble qu’un de ses pr
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es conclusions si on leur appliquait les critères
dont
il use envers l’Évangile. (Qu’on se rappelle la plaisanterie fameuse
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es dogmes, ne démolit que les preuves matérielles
dont
l’esprit humain voudrait toujours les faire dépendre. Il nous rappell
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iques. Un jeu secret qui se joue sur nos têtes et
dont
la Presse nous donne l’image conventionnelle. Entre les forces qui do
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lors, à quoi servirait de méditer sur la manière
dont
ce chrétien pourrait ou devrait exercer une vocation condamnée par av
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l’incroyant l’ensemble des abus et des désordres
dont
il souffre ; — pour le chrétien, ce sera bien davantage : ce sera tou
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e l’utopie d’un avenir meilleur, ce « millenium »
dont
l’Apocalypse nous donne la vision mystérieuse, Satan enchaîné pour mi
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nd Inquisiteur qui vient bénir ce monde moralisé,
dont
on ne sait plus exactement s’il est encore profane ou déjà sanctifié.
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bandonnés, des ivrognes, tout le rebut d’humanité
dont
les bas-fonds eux-mêmes ne savent que faire. Il faut lire l’effarante
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s parlementaires, des techniciens de toute farine
dont
les compétences bavardes nous ont valu la crise actuelle viendront di
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e et vitale à l’intérieur de l’Église. Une Église
dont
la théologie est vague n’a plus rien à dire dans le domaine de la cul
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les droits et les devoirs de l’État (l’organisme
dont
le devoir est d’assurer la liberté de l’individu au point de vue maté
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iques qui n’auront l’air de rien ; par des hommes
dont
on dira qu’ils exagèrent, qu’ils rêvent, qu’ils n’ont pas le sens com