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ar le terme d’humanisme, on se borne trop souvent
encore
, en France, à désigner la culture gréco-latine. Nous n’avons pas, bie
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l’antagonisme des deux attitudes prend une forme
encore
plus précise, il devient l’antagonisme de deux volontés qui ne s’oppo
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e de la connaissance du bien et du mal. Humaniste
encore
, l’homme pieux qui prie pour demander à Dieu des « avantages » humain
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ture définitivement asservie. Cet homme sera-t-il
encore
humain ? Que fera-t-il, une fois son triomphe assuré par sa victoire
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t des hommes ? Sera-t-il ange ou bête ? Sera-t-il
encore
un homme ? L’homme chrétien est à la fois ange et bête. Dans ce confl
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primitifs à colorer leur relation, on voit mieux
encore
le préjugé moderne qui pousse M. Goguel à les décolorer. Et l’on se d
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ette forme du monde que le chrétien découvre pire
encore
que ne le pensaient les socialistes par exemple, elle appelle une tra
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ez-vous, des problèmes concrets que pose la cité.
Encore
un qui s’évade ! Encore un qui décolle et va planer au-dessus des nua
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oncrets que pose la cité. Encore un qui s’évade !
Encore
un qui décolle et va planer au-dessus des nuages… Peut-être qu’un ou
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ou non ? Et s’ils le voient, comment peuvent-ils
encore
éluder si cavalièrement le problème dernier de l’action ? Et je deman
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t le problème dernier de l’action ? Et je demande
encore
: qui donc osera poser ces grandes questions dernières, si ce n’est l
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oralisé, dont on ne sait plus exactement s’il est
encore
profane ou déjà sanctifié. Je ne crois pas plus à une politique chrét
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e crois qu’un chrétien peut adresser une critique
encore
plus grave à tout parti. L’idée même de parti paraît absolument incom
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réduire le scandale social. Aucun parti n’existe
encore
dans son pays, qui se consacre à la défense des intérêts de la classe
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s de la foi à la forme du monde. Mais, direz-vous
encore
, nous ne sommes pas tous des Jérémie, des Paul, des Luther, des Calvi
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olétariat, de même que les intellectuels, croient
encore
à certaines notions de justice et de respect de l’homme qui n’ont auc
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de l’ouvrier ni du petit-bourgeois provincial et
encore
moins ceux du capitalisme. Chacun tire à hue et à dia, et personne ne
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concrète. Certes, le mouvement personnaliste est
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jeune, et n’a pas remué les masses jusqu’ici. Mais je ferai deux rema
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ut nous paraît trop haut, c’est que nous comptons
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trop sur nous-mêmes. Mais le chrétien ne compte pas sur lui seul, il
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e fassent, qu’ils saisissent cette chance ; c’est
encore
une jeune espérance, mais c’est déjà une exigence directe, une possib
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ue, à l’offensive, à l’initiative, à du plein. Ou
encore
: les Églises et leurs prédicateurs ont moins que jamais à se soucier
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uerres, et les tyrannies qui en résultent… Un mot
encore
. Ce programme, qui résume à mes yeux les plus grandes chances d’actio
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les protestants, de déclarer — comme Gide le fait
encore
— qu’orthodoxie et protestantisme s’excluent mutuellement. Libre exam