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ont la Presse nous donne l’image conventionnelle.
Entre
les forces qui dominent la cité, et les hommes qui habitent la cité,
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t-il possible alors, ou désirable, qu’un chrétien
entre
dans l’un ou l’autre des partis existants, et fasse sienne la cause d
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sitôt le fameux trait d’union qu’on nous propose,
entre
socialiste et chrétien ? Prenons bien garde ici au sens des mots : pr
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alors de déclarer ouvertement aux socialistes qu’
entre
leur but et notre but, entre nos motifs et les leurs, il y a tout l’a
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t aux socialistes qu’entre leur but et notre but,
entre
nos motifs et les leurs, il y a tout l’abîme qui sépare un idéal mora
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ux que nous ce que signifie pour eux le compromis
entre
leurs motifs de croyants et les motifs des camarades. Pensant à eux,
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commence. Soudain frappé par le contraste odieux
entre
la misère des bas-fonds et l’essor de la bourgeoisie capitaliste qui
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ne sait où il va. Il n’y a plus de commune mesure
entre
la pensée et l’action. La cité n’est plus dominée par une norme et un