1 ves, le lecteur se sent autorisé à la plus grande exigence critique. À vrai dire, M. Goguel ne paraît pas s’être beaucoup préocc

2 cadres sociaux. Vous voyez que nous retrouvons l’ exigence spirituelle du chrétien. Mais vous voyez aussi qu’il s’agit là d’une

3 seul mouvement qui réponde, dès son principe, aux exigences de notre vocation. Ce n’est pas une politique chrétienne, ce n’est pa

4 t encore une jeune espérance, mais c’est déjà une exigence directe, une possibilité magnifique. Je n’en connais pas d’autres pou

5 nous en Jésus-Christ, exige que nous prenions les exigences de Dieu vraiment au sérieux, que nous « laissions Dieu être Dieu en n

6 elon des besoins utilitaires plutôt que selon les exigences de la vérité, de penser par masses ou par majorités, de placer tout l

7 résente, auront disparu. Il y aura une impérieuse exigence de chefs nouveaux, de valeurs nouvelles, d’un idéal nouveau ; un dési

8 nes de l’ère bourgeoise. Il se pourrait que cette exigence , surgissant d’un chaos matériel et spirituel, présente à nouveau l’ap

9 u philosophe créateur, parce qu’il n’avait aucune exigence claire et ferme, parce qu’il n’offrait à l’instinct créateur aucune c