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royance au salut de l’homme par les seules forces
humaines
. Croyance qui s’oppose rigoureusement au christianisme, s’il est avan
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s dispense de mettre en œuvre toutes leurs forces
humaines
. Ils les accusent de faire appel à une Volonté dont l’opération, à le
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ation, à leurs yeux, anéantit celle de la volonté
humaine
, ou la rend absolument vaine. En somme, ils les accusent de diminuer
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quotidienne. L’humaniste va chercher une solution
humaine
qui lui permettra d’assurer ce bien absolu qu’est sa vie. Le chrétien
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» doit être payé ici-bas du mépris des garanties
humaines
les plus élémentaires, — et toute l’histoire des martyrs en témoigne.
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x qui prie pour demander à Dieu des « avantages »
humains
. (Comment donc les connaîtrait-il ? Comment pourrait-il les nommer, s
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ue semble devoir commander une foi véritable en l’
humain
. Le communisme est le véritable humanisme de notre temps. La seule te
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finitivement asservie. Cet homme sera-t-il encore
humain
? Que fera-t-il, une fois son triomphe assuré par sa victoire sur les
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démolit que les preuves matérielles dont l’esprit
humain
voudrait toujours les faire dépendre. Il nous rappelle ainsi que la f
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cité », c’est énoncer une vérité qu’aucune preuve
humaine
ne peut réellement appuyer ; car l’œuvre de la chair, c’est de refuse
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Il ne sera pas dit que l’homme chrétien est moins
humain
que l’homme non chrétien. Il ne sera pas dit que le croyant, parce qu
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ce monde, ce n’est pas en vertu des seuls désirs
humains
, qu’il a certainement lui aussi, mais qu’il n’aurait aucun droit de p
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. Le chrétien n’annonce pas seulement une justice
humaine
à venir, mais une justice divine, déjà réalisée. Notre devoir de char
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as aussi faillir à notre vocation tout humblement
humaine
, professionnelle ? Je n’aurai pas le cynisme de vous répondre que ce
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entendre par là ? Qu’est-ce donc que la personne
humaine
? Exactement et tout simplement, la personne, c’est ce que j’appelais
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les paradoxes chrétiens qui gênent si fort notre
humaine
raison. Mais la foi n’est pas une adhésion intellectuelle qui ne nous
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iplines de l’esprit, entre les diverses activités
humaines
et sociales. Les années d’après-guerre seront probablement caractéris
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ocation, un appel spécial qui le distingue de son
genre
et qui lui confère une dignité inaliénable dans la mesure où il obéit
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ceci : I. Que l’Église offre un type de relations
humaines
viables, comme elle le fit aux siècles sombres, avant la floraison du
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storiques, au hasard des situations ? Quel risque
humain
, ou même spirituel, cela comporte-t-il ? Avez-vous des vœux ou sugges