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r poser devant vous quelques questions, définir à
grands
traits des antithèses à dessein forcées, et provoquer vos objections,
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une volumineuse Vie de Jésus 4 dont le succès fut
grand
et les conclusions vivement discutées. L’ouvrage qu’il nous donne auj
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ssi graves, le lecteur se sent autorisé à la plus
grande
exigence critique. À vrai dire, M. Goguel ne paraît pas s’être beauco
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, j’ai éprouvé plus que jamais le sentiment d’une
grande
absurdité. Sommes-nous bien des David prêts à marcher contre Goliath,
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nformulée. La question que je viens d’esquisser à
grands
traits, c’est celle des fins dernières de l’action du chrétien. C’est
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? Et je demande encore : qui donc osera poser ces
grandes
questions dernières, si ce n’est le chrétien, dans la cité contempora
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ns, et il faut qu’elles demeurent posées comme un
grand
signe d’interrogation au-dessus de ce que j’ai à vous dire maintenant
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e active de sa transformation. Ici se posent deux
grands
problèmes pratiques : est-il possible et nécessaire, partant de cette
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iale, morale, économique, qui puisse s’imposer au
grand
nombre sans violences, sans mensonges, sans illusions, sans habiletés
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message de la conservation ; et voici l’ombre du
Grand
Inquisiteur qui vient bénir ce monde moralisé, dont on ne sait plus e
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elles du travail ; il revendique une justice plus
grande
dans la société : si nous ne protestons pas plus fort que lui, si nou
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i les chrétiens ne vivaient pas aussi de pain. Le
grand
danger du socialisme n’est pas dans son matérialisme, mais dans sa fa
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tous les avantages qui sont chez nous ceux de la
grande
bourgeoisie. Mais voilà qu’il se convertit, et c’est ici que l’aventu
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e baraque dans le quartier le plus mal famé de la
grande
ville de Kobé, et se met à prêcher l’Évangile. Mais son activité ne s
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tes œuvres sociales, enfin à la constitution d’un
grand
mouvement syndicaliste. Vocation du chrétien dans la cité. Tout le po
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un parti que Luther et Calvin déclenchent la plus
grande
révolution occidentale, — c’est au nom de leur seule vocation. Eux n’
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iale. » Je crois que cette phrase exprime la plus
grande
vérité actuelle, c’est-à-dire la plus méconnue par ceux qui font la p
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art ailleurs que dans la religion. L’histoire des
grandes
civilisations, c’est l’histoire de leur mesure commune, de leur règle
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stes, sur l’exemple desquels je vais conclure. Le
grand
principe qui anime ces groupes, celui de la revue Esprit ou celui d
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ien dire de plusieurs autres moins notoires, — le
grand
principe qui les anime, c’est la primauté de la personne. — L’express
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et dénoncer cette autre tyrannie qui s’appelle la
grande
presse, et qui voudrait se faire prendre pour l’opinion publique, alo
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qui leur est fait ! — Il se peut que d’autres en
grand
nombre comprennent que leur vocation pourrait s’exercer dès maintenan
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’Atlantique et les affirmations formulées par les
grandes
conférences œcuméniques. Mais il est non moins remarquable qu’aucun d
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des hostilités introduira une période de la plus
grande
confusion. Aperçu de la situation d’après-guerre La jeunesse de
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up sûr. Mais sans aucun doute leur faim sera plus
grande
et leur soif de réponses à leurs questions, de conseils, d’idéaux cat
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e chrétien, soit en se révoltant contre lui. (Les
grandes
philosophies modernes, celles de Descartes et de Hegel, sont nées d’u
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ceptible de recevoir une vocation. Maintenant les
grandes
maladies sociales et culturelles des temps modernes ont toutes cette
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nera, par conséquent, au nom de la théologie, les
grandes
machines bureaucratiques dans lesquelles les individus sont abstraite
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es le feront au nom de leur doctrine, et avec une
grande
précision. Elles ne le feront pas au nom de conceptions purement huma
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t symbole de l’Esprit. Un fils soumis de Rome, le
grand
Paul Claudel, pouvait écrire vers la fin de cette période qu’à la que
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et pour longtemps. Et c’est un fait que les trois
grandes
confessions chrétiennes ont retrouvé, depuis une ou deux décades, le
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é une menace, au prix de sacrifices presque aussi
grands
que ceux qu’elles eussent été contraintes de subir en se rendant. (Da
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ore. Ce programme, qui résume à mes yeux les plus
grandes
chances d’action du christianisme au xxe siècle, resterait une pure
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’ils n’ont pas le sens commun, qu’ils voient trop
grand
… Peut-être même par des petites revues comme celle-ci ? 5. Kierkega
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spire, encadre et soutient, aujourd’hui, un assez
grand
nombre d’écrivains très connus ; le protestantisme, presque aucun. À
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e leurs confessions, l’Italie ait produit plus de
grands
écrivains que l’Angleterre, la Pologne que le Danemark, l’Allemagne c
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ément romaines, n’ont pas produit de nos jours de
grands
écrivains catholiques, et, même, plusieurs de leurs auteurs les plus
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de « mauvaises » théologies donner naissance à un
grand
art (le puritanisme à Milton, les doctrines jésuites au baroque), et
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les interdictions, les certitudes décisives, les
grands
lieux communs, les thèmes traditionnels à renouveler, tout ce système
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Et, pour les mêmes raisons, l’on peut attendre du
grand
renouveau théologique, initié par Karl Barth, un renouveau protestant
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n, Unamuno, Rilke, Kafka, Kassner, Auden, un très
grand
nombre de poètes, de romanciers, d’essayistes des jeunes générations,