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le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien
parle
de salut, eux se bornent à revendiquer le bonheur des hommes, la just
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e, qui voient un ange, et voici que cet ange leur
parle
! Les réactions de ces femmes n’auront probablement rien d’homogène e
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n, que personne ne l’écoute plus, qu’on le laisse
parler
dans ses temples justement parce qu’on ne le craint plus ? Et dès lor
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, comme chrétien, ne vaut guère la peine qu’on en
parle
. J’irai même plus loin : l’action d’un intellectuel laïque quelconque
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ompte le bec dans l’eau ? J’aurais renoncé à vous
parler
ce soir si je n’avais eu à vous offrir que ces négations nécessaires.
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r d’autres. Sa parole n’aura de poids que si elle
parle
au nom de sa propre théologie, et en rattachant ce qu’elle dit de la