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ent pas moins passionnantes. Quelle fut la genèse
psychologique
et historique de la croyance à la résurrection de Jésus ? C’est ainsi
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mais aussi, nous venons de le voir, à des données
psychologiques
et historiques dont le dosage et la valeur sont très variables. Il se
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elle fait apparaître le rôle de l’interprétation
psychologique
, et c’est là le second obstacle. M. Goguel tire des arguments, pour l
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me bonne foi — de la rétrohistoire, de l’imagerie
psychologique
? Je sens bien la gravité de ce reproche. Mais M. Goguel semble d’ava
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l faudrait alors déclarer ses critères. La vérité
psychologique
, telle que la conçoivent les historiens, me paraît particulièrement i
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gêné par l’anachronisme évident de ses jugements
psychologiques
. Il y a là un procédé tout inconscient mais qui rappelle irrésistible