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ec une sorte de minutieuse indifférence, tous les
récits
bibliques relatifs à la sépulture, au tombeau vide, aux apparitions e
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e biblique intégral, on est frappé de voir que le
récit
se trouve, dans tous les cas, affadi et banalisé. Si l’on voit bien c
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pables de voir dans les contradictions mêmes d’un
récit
, la marque de la vie et des passions ? Prenons, à peu près au hasard,
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l le retranche donc. Cela fait, nous dit-il, « le
récit
est bien homogène ». Certes. Mais qu’on imagine un groupe de femmes q
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gène et seront même plus contradictoires qu’aucun
récit
ne peut le faire sentir. Ces réserves faites sur la méthode, il reste